Pour bien préparer le prochain mondial en Russie, mon ami Claude qui m'aide depuis des années à faire de ce blog s'est lancé dans un travail de titan que je continue de partager avec vous. Comme vous le savez Panini a commencé sa collection sur les coupes du monde à partir du mondial mexicain de 1970 mais comme à chaque fois l'album sort des mois avant l'annonce des sélections il y a quelques loupés et de nombreux absents. Claude a décidé d'y remédier en créant ses propres vignettes pour toutes les sélections et tous les appelés ayant atteint la finale lors des coupes du monde 1970 à 2014. Après le Brésil vainqueur de l'édition 1970, voici le finaliste italien. En attendant de tous les voir, je vous invite à liker la page Facebook de Claude : I2F - images de foot. N'hésitez pas à cliquer sur les images pour une meilleure résolution.
Roberto Carlos' Top Ten Free Kicks
Roberto Carlos da Silva Rocha more commonly known simply as Roberto Carlos, is a Brazilian retired professional footballer. He started his career in Brazil as a forward but spent most of his career as a left-back and has been described as the "most offensive-minded left-back in the history of the game". He was nicknamed "The Bullet Man" due to his powerful bending free kicks, which have been measured at over 105 miles per hour (169 km/h). If he is especially famous for a free kick against France in the inaugural match of Tournoi de France 1997 on 3 June 1997 at Lyon he scored many impressive other ones. For example after almost signing for Aston Villa side in 1995, Roberto Carlos chose a move to Inter Milan, in the Serie A, playing one season for the Nerazzurri. He scored an awesome 30-yard free-kick on his debut in a 1–0 win over Vicenza and one of the most important goal in his career is from another famous free-kick. On the final day of the 2002–03 season, with Madrid needing to beat Athletic Bilbao to overtake Real Sociedad and win their 29th La Liga title, Roberto Carlos scored from a free-kick only in the second minute of this crucial game ! And now in a two minute video the The top ten best ever free kicks from the Bullet Man :
Mais que devient Frédéric PATOUILLARD ?
Pour ceux qui ne se souviennent
pas de Frédéric PATOUILLARD, c’est ce vénissian formé à l’Olympique Lyonnais et
lancé dans le grand bain du football professionnel en 1996 par Guy Stephan. Il
devient même un membre important de l’équipe fanion de l’OL au début de la
saison 1996-97 puis Guy Stephan est limogé après une débâcle à l’Abbé-Deschamps
et est remplacé par le conseiller du président, Bernard Lacombe. Lacombe et son
directeur sportif Jacques Santini ne comptent pas sur le grand Patouillard pour
construire leur groupe et le natif de Vénissieux est prêté à Toulouse une
saison. Il ne brille pas mais réalise tout de même un exercice correct. La suite
c’est un transfert à Guingamp en Division 2 puis une chute inexorable vers les bas-fonds
du football professionnel passant en national (Besançon, Louhans-Cuiseaux) puis
la CFA avec Narbonne pour enfin terminer chez les amateurs à Feyzin (agglomération
du sud de Lyon). Si Patouillard a commencé directement à l’échelon le plus haut
pour connaitre ensuite une déchéance sportive, sa reconversion va suivre la même
trajectoire. Plus connu à Toulouse pour avoir lancé sa pizzeria que pour ses
performances sur le rectangle vert, il avait, semble-t-il, trouvé sa voie. Mais
sa carrière dans la pizza ne va jamais décoller et il va rapidement faire
faillite. Ruiné, vivant du RSA, Frédéric Patouillard va basculer du côté
obscur. En mars 2014 il va être mis en examen pour « association de
malfaiteurs ». En effet il est accusé ni plus ni moins d’être au cœur d'un
trafic de cocaïne entre la France et l'Espagne. Bon ce n’est pas non plus Al
Pacino dans Scarface, son rôle selon l’enquête de Police (surveillance menée
depuis 2012 à son encontre par la brigade des stupéfiants de la police
judiciaire lyonnaise) est de l’ordre de la complicité. Voici les faits, qui
remontent deux ans avant sa mise en examen. A l'époque, les policiers avaient
réussi à intercepter un 4x4 de la marque Mercedes à la frontière espagnole,
dans lequel ne se trouvaient pas moins de 600 kg de cannabis. Si les occupants
du véhicule avaient pris la fuite, un Lyonnais et un Vénissian avaient été
reconnus par les enquêteurs. Ceux-ci avaient en effet été contrôlés quelques
jours plus tôt. Au fil des investigations, Frédéric Patouillard est
"apparu dans l'entourage de ces deux suspects". Il semblerait que le
footballeur ait joué un rôle logistique dans l'organisation, fournissant des
voitures de location aux trafiquants présumés pour faire leur Go Fast. Mais ce
n’est pas tout selon le quotidien Le Progrès, Patouillard est aussi mis en
examen pour trafic de stupéfiants. Il serait accusé d'avoir vendu de la cocaïne
à des proches et notamment à des anciens joueurs de football professionnels. Aujourd’hui
je ne connais pas les suites judiciaires de cette affaire mais ce que je sais c’est
que Frédéric Patouillard n’est pas derrière les barreaux. Il a tenté de remonter
une affaire en 2015, un restaurant à Vernaison, mais ne s’est pas entendu avec
son associé et a jeté l’éponge au bout d’un mois. Depuis il a entamé une
carrière de commercial indépendant pour des maisons de vins, principalement
issus de la Vallée du Rhône. C’est sa dernière activité professionnelle connue.
Sources : Le Progrès
L’entente PSG – OM
Joueurs du Paris Saint Germain et de l’olympique
de Marseille réunis sous un même maillot ? Vous avez du mal à y croire et pourtant
c’est arrivé en 1975 et pour une bonne cause. L’histoire débute au tout début
de l’année 1975, le 22 janvier précisément sur un terrain de rugby à Bordeaux.
Le Racing Club de Paris affronte Bègles Bordeaux sur sa pelouse et lors d’une mêlée
écrasée, le jeune talonneur du Racing, Georges Magendie ne se relève pas, il ne
se relèvera jamais, rupture des cervicales. L’émotion est très forte dans le
milieu du rugby et du sport en général.
Les dirigeants du PSG et de l’OM décident
en février d’organiser une rencontre de prestige à Colombes au stade Yves du
Manoir face à l’ancienne équipe du champion du monde marseillais Paulo César, l’équipe
brésilienne de Botafogo FR. D’ailleurs c’est Paulo CESAR qui sera le capitaine
de cette sélection, surement qu’il a joué un rôle important dans l’organisation
de cette rencontre internationale avec son ancien club. Le choix du stade n’est
pas un hasard, Le stade Yves du Manoir à Colombes est l’ancienne Mecque du
football français (il accueillera la finale de la coupe du monde 1938 et plus
de 40 finales de la coupe de France entre autres) avant l’avènement du Parc des
Princes dans sa version moderne. Mais le stade de Colombes c’est surtout le
stade du club omnisport du Racing Club de Paris et la ville de Colombes s’engage
à reverser la recette de la billetterie à la veuve de Georges Magendie. C’est
ainsi que l’entente PSG/OM voit le jour le 19 février 1975 pour un match unique
à Colombes. Cette équipe est une sélection de 13 joueurs issus des deux clubs
et entrainé par les deux entraineurs respectifs à savoir Just Fontaine pour le
PSG et Jules Zvunka pour l’OM. Voici le onze du départ de cette sélection qui
évoluera, hommage oblige, avec les couleurs du Racing Club.
La composition est la suivante avec
debouts : Albert Poli (PSG), Jacky
Novi (PSG), François Bracci (OM), Louis Cardiet (PSG), Denis Bauda (PSG), Ilija
Pantelic (PSG). Assis : Georges Eo (OM), Albert Emon (OM), François M’Pelé (PSG),
Jean-Pierre Dogliani (PSG), Paulo Cesar (OM). A noter que le gardien
parisien Pantelic sera remplacé à la mi-temps par le gardien de l’OM, René Charrier
et que le parisien Louis Floch remplacera également à la mi-temps le
marseillais Albert Emon. Cette belle équipe mixte s’inclinera 3-2 face au
Botafogo entrainé par le légendaire Zagallo. Malgré un doublé du parisien
François M’Pelé, la sélection marseillo-parisienne s’inclinera trois buts à
deux, côté brésilien à noter que l’attaquant argentin Rodolfo Fischer inscrira
lui aussi un doublé et José Luiz Carbone inscrira l’autre but brésilien. Voici
les joueurs du PSG et de l’OM composant cette sélection. Lors de la saison
1974-75 pas d’albums Panini encore (le premier sera la saison suivante) mais
les Etoiles du Football et chaque équipe posait avec les t-shirts de l’UNFP. C’est
dommage car du coup on ne peut pas voir le mélange des couleurs parisiennes et
marseillaises unies. Sinon cette année-là les joueurs du PSG posaient avec les t-shirts
marron/orange et ceux de l’OM avec des t-shirts verts. Les gardiens eux avaient
des t-shirts blancs. Seules exceptions les deux champions du monde brésilien de
l’OM qui arrivé un peu plus tard dans la saison ont leurs vignettes avec des maillots
blancs, sans t-shirt de l’UNFP.
Jean-Pierre Dogliani (PSG). Non présent
dans l’album 1974-75 sa vignette est celle de la saison précédente 1973-74
Sources :
2018 World Cup Managers
On the road to Russia 2018 here it comes all the managers of the next UEFA European Championship before their coaching careers and now.
Russia - Stanislav Tchertchessov
Saudi Arabia - Juan Antonio Pizzi
Egypt - Héctor Cúper
Uruguay - Óscar Tabárez
Portugal - Fernando Santos
Spain - Julen Lopetegui
Morocco - Hervé Renard
Iran - Carlos Queiroz
France - Didier Deschamps
Australia - Bert van Marwijk
Peru - Ricardo Gareca
Denmark - Åge Hareide
Argentina - Jorge Sampaoli
Iceland - Heimir Hallgrímsson
Croatia - Zlatko Dalic
Nigeria - Gernot Rohr
Brazil - Tite
Switzerland - Vladimir Petkovic
Costa Rica - Óscar Ramírez
Serbia - Mladen Krstajić
Germany - Joachim Löw
Mexico - Juan Carlos Osorio
Sweden - Janne Andersson
South Korea - Shin Tae-yong
Belgium - Roberto Martinez
Panama - Hernán Darío Gómez
Tunisia - Nabil Maâloul
England - Gareth Southgate
Poland - Adam Nawałka
Colombia - José Pekerman
Senegal - Aliou Cissé
Japan - Akira Nishino
Russia - Stanislav Tchertchessov
Saudi Arabia - Juan Antonio Pizzi
Egypt - Héctor Cúper
Uruguay - Óscar Tabárez
Portugal - Fernando Santos
Spain - Julen Lopetegui
Morocco - Hervé Renard
Iran - Carlos Queiroz
France - Didier Deschamps
Australia - Bert van Marwijk
Peru - Ricardo Gareca
Denmark - Åge Hareide
Argentina - Jorge Sampaoli
Iceland - Heimir Hallgrímsson
Croatia - Zlatko Dalic
Nigeria - Gernot Rohr
Brazil - Tite
Switzerland - Vladimir Petkovic
Costa Rica - Óscar Ramírez
Serbia - Mladen Krstajić
Germany - Joachim Löw
Mexico - Juan Carlos Osorio
Sweden - Janne Andersson
South Korea - Shin Tae-yong
Belgium - Roberto Martinez
Panama - Hernán Darío Gómez
Tunisia - Nabil Maâloul
England - Gareth Southgate
Poland - Adam Nawałka
Colombia - José Pekerman
Senegal - Aliou Cissé
Japan - Akira Nishino
All the managers by Group :
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Publié par
Alex BOUROUF

Libellés :
Before his coaching career,
Les entraineurs
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