Jari Olavi Litmanen is widely considered to be Finland's greatest football player of all time. He began his professional career in 1987 and spent time with Finnish clubs Reipas (1987-90), HJK (1991), and MyPa (1992) before joining Ajax but before moved to Amsterdam, Litmanen had failed to earn a contract with the Romanian club Dinamo București ! In Netherlands Litmanen he rose to international prominence. Between 1992 and 1999, he scored 135 goals in 253 appearances or Ajax, winning four league titles and the 1995 Champions League final (he finished as the tournament's second-highest scorer, with 6 goals). After leaving Ajax, he one and a half relatively quiet seasons with Barcelona, then joined Liverpool in January 2001. In his first season there, he collected four trophies--the UEFA Cup, the UEFA Super Cup, the FA Cup, and the League Cup--then won a fifth--the Community Shield--at the start of the next season. He returned to Ajax in 2002 and won another league title in 2004, then moved again to a series of clubs that included Lahti (2004, 2008-10), Hansa Rostock (2004-05), Malmö (2005-07), and Fulham (2007-08) before moving to his final club, HJK, in 2011 at the age of 40 (he retired later that year). Along the way, he made 137 appearances for Finland from 1989 to 210, scoring a record 32 goals. And now his Top ten goals in video with Ajax :
Le Docteur SOCRATES croqué par les plus grands artistes
Le Docteur SOCRATES a marqué le football et son influence a été au delà du jeu, du terrain et il est l'un des joueurs qui aura le plus inspiré les artistes dessinateurs. Dans ce sujet, je ne vais pas faire une liste exhaustive des artistes qui l'ont croqué, ils sont bien trop nombreux mais seulement ceux qui ont un lien étroit avec Old School Panini depuis le début de l'aventure en 2010. Mais pourquoi Sócrates inspire t'il tant les artistes ? Pour moi cela se résume en deux points, le premier footballistique, Sócrates est l'ambassadeur du Joga Bonito, ce jeu brésilien léché qui a émerveillé le monde entier un été 82 et la seconde est politique, le Docteur étant à la tête du mouvement qu'on va appelé la démocratie Corinthienne. A la fois leader sur le terrain et capitaine de cette fameuse équipe du Brésil à la coupe du monde 1982, Sócrates est aussi un homme engagé dans un pays dirigé par une junte militaire féroce. Si le sujet vous intéresse je vous invite à relire le très vaste sujet fait au lendemain de sa mort : Sócrates n'est pas une putain. En attendant voici les différents artistes qui ont croqué le docteur avec en premier lieu mon ami Mathieu Marcou (son site : footballtrafic.com)qui réalise le graphisme d'OSP où Sócrates est en bonne place, comme vous le voyez tout d'abord il a sa propre catégorie de sujets et c'est lui que j'ai choisi aux cotés de Michel et Diego pour illustrer les liens vers les réseaux sociaux d'OSP. Cliquer sur le nom de l'artiste pour avoir accès à son profil Twitter.
Gonza RODRIGUEZ
Son site : behance.com/gonzarodriguez
Steve WELSH
Son site : miniboro.com
Graeme BANDEIRA
Son site : altpick.com/bandy
Daniel NYARI
Son site : danielnyari.com
Dan LEYDON
Son site : danleydon.com
Akyanyme
Son site : akyanyme.com
Stanley CHOW
Son site : stanleychow.co.uk
David DIEHL
Son site : daviddiehl.ch
The most heartbreaking penalty miss
The story tooked place in the 1993-94 season of spanish domestic league. Going into the final day of the season, Deportivo La Coruña sat top of the La Liga table with 55 points. However Barcelona were breathing down their title rivals’ necks on 54 points. In one hand La Coruña playes the last game at home to Valencia – who had nothing to play for and in the other hand Barca had to better Deportivo’s result if they were to win the championship but they were playing Sevilla who still had hopes of securing European football. With minutes to go, Barcelona were comfortably beating Sevilla in the Nou Camp. All eyes were focused on the Riazor stadium of La Coruña where Deportivo could not find a way past Gonzalez in the Valencia goal. It was still goalless. But then, in the ulitmate last moments of the game, Depor’s Nando dummied a shot on the edge of the box and nudged the ball past Valencia’s Serer, who dangled his right boot. Nando went over it and the referee pointed to the spot. Players dropped their knees, praying. After ninety minutes of drudgery, Depor had their chance to win their first national title. But Donato, their set piece and penalty taking weapon, had been substituted though and the second enforcer didn’t want to take this responsibility. So under extreme pressure, it was Serbian defender Miroslav Djukic who put himself forward to take the most important penalty kick in Deportivo’s then-88 year history. With the Riazor ready to explode, Djukic steadied himself with a large gasp of Galician air. The referee blew his whistle and Djukic made his move, placing the ball with the inside of his boot, low and to the right of Gonzalez. His weak shot, though, was easily saved by the goalkeeper, who immediately stood up and punched the air. Valencia players – who seemingly had nothing to play for, apart from alleged Barcelona-sponsored cash – leapt with delight. The game finished 0-0 and Barcelona were champions.
All SOCRATES' goals for Brazil
Sócrates Brasileiro Sampaio de Souza Vieira de Oliveira simply known as Sócrates, was a Brazilian footballer who played as an attacking midfielder. His bachelors degree in medicine and his political awareness earned him the nickname "Doctor Socrates". Easily recognizable for his beard and headband, Sócrates became the "symbol of cool for a whole generation of football supporters". He was considered to be one of the greatest midfielders ever to play the game. Sócrates played for Brazil for seven years, scoring 22 goals and representing the nation in two World Cups, he was a key member of the Brazilian national team of the early to mid-1980s. He captained the team in the 1982 FIFA World Cup; playing in midfield alongside Zico, Falcão and Éder, considered one of the greatest Brazilian national teams ever. Sócrates was a technical playmaker, known for great through passes and his vision on the field, as well as his physical strength. He was also a two-footed player and a prolific goal scorer. Here it comes in a six minutes video all his 22 goals for Brazil between 1979 and 1986. Both at 1982 World Cup against USSR and Italy are marvelous :
La S.S LAZIO championne d'Italie 1973-74
Dans les derniers sujets sur le controversé
Gorgio Chinaglia et le drame qui a frappé Luciano Re Cecconi, nous avions
évoqué ici cette équipe de la Lazio championne d’Italie pour la première fois
de son histoire lors de la mythique saison 1973-74. Il était temps de revenir
sur le parcours improbable de cette équipe de la Lazio. Pourquoi improbable ?
Tout simplement parce que cette équipe est un ramassis de traine-savates qui
passe son temps à se foutre sur la gueule entre eux ! Bien entendu c’est
déjà arrivé dans le football qu’une équipe voit son vestiaire divisé en deux
clans mais jamais au grand jamais ces équipes n’ont pu enchainer des résultats
positifs, la Lazio elle va devenir championne d’Italie devant la Juventus et le
Napoli. Des Crétins, c’est comme ça que l’Italie du football considérait ces
joueurs Laziali de 1973. En réalité,
ils étaient bien pires que des simples crétins et il n’aurait pas été choquant
de les appeler criminels, pour leurs relations plus ou moins claires avec la Banda della Magliana, gang qui dominait
la Rome de ces années-là. S’autoproclamant fièrement fascistes et se promenant
en ville avec un pistolet sous la veste, une grande partie d’entre eux est
passée à plusieurs reprises au commissariat pour des altercations violentes
avec des supporters. Dans le documentaire TV sur une rétro de l’époque, Pino
Wilson, défenseur de cette Lazio, affirme sans regrets : « Oui, effectivement à l’époque
on était des têtes chaudes, des voyous » à l’image d’un Gorgio
Chinaglia qui affichera toujours avec nonchalance jusqu’à la fin de ses jours ses
relations avec des voyous. Autre témoignage, Vincenzo d’Amico, milieu de
terrain de cette équipe, raconte dans le même documentaire comment toute
l’équipe avait acheté des armes, plus ou moins légalement, pour la compétition
de tir au pistolet qui suivait les entraînements.
Des voyous détestés sur tous les
terrains où ils se rendaient. Mais surtout des voyous qui se détestaient entre
eux. Le vestiaire de la Lazio était un champ de bataille. Felice Pulici, le
gardien de buts, explique comment le vestiaire des biancocelesti était littéralement divisé en deux. Du côté gauche,
se déshabillait le clan des Chinaglia, D’Amico, Pulici et compagnie. Tandis que
le côté droit était sous le contrôle du clan ennemi, celui de Luigi Martini
(milieu de terrain) et de Renzo Garlaschelli qui évolue en position de Trequartista (le fameux neuf et demi si
cher au foot italien), et grand adversaire de Chinaglia car évoluant dans la
même zone du terrain que la grande vedette Laziale.
Il était strictement interdit de laisser ses affaires dans la moitié du clan
rival, ni même de mettre un pied du mauvais côté du vestiaire sous peine de
bagarre générale. A table, comme l’affirme D’Amico, « on était assis, moi, Chinaglia,
nos amis… Puis on laissait trois ou quatre chaises libres, pour être le plus
loin possible des autres ». Une ambiance sympathique qui dégénérait
bien évidemment lors des confrontations à l’entraînement, où les clans rivaux
s’affrontaient à coup de tacles assassins.

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Tommaso Maestrelli à la fin de la rencontre face au Foggia |
The Death of Robbie JAMES
Robert Mark "Robbie" James was a Welsh international footballer who played for many teams including Swansea City, Stoke City and Queens Park Rangers in First Division in the mid 80's. He was a talented utility player who contributed greatly to Swansea City's rise from the Fourth Division to the First Division between 1978 and 1981, and helped them finish sixth in their first top division campaign. He played a total of 783 English league games between 1973 and 1994, scoring 134 goals. In 1988 he moved back to Swansea City, and later played for Bradford City and Cardiff City. With Cardiff he won helped them to win the Third Division in 1992–93, his last season in the English Football League after 20 years. After his time with Cardiff he moved into Non-League football with Merthyr Tydfil. He became player-manager of Llaneli in 1996. On 18 February 1998, he was playing for Llanelli against Porthcawl Town when he collapsed and died from a heart attack. The Independent reported that "To the very last he played the game the only way he knew how, with every ounce of his being". Over the course of his career, he made 782 league appearances, scoring 133 goals and winning five Welsh Cups.
Luciano RE CECCONI une mort absurde ou un assassinat ?
L’histoire de Re Cecconi est une mauvaise
tragédie burlesque qui va se terminer un 18 janvier 1977 à Rome dans une
bijouterie, abattu à bout portant d’une balle en plein cœur. Fils de maçon,
Luciano Re Cecconi à une trajectoire des plus atypiques. Il grandit dans la
banlieue de Milan et son premier job est carrossier dans le garage de son
cousin. Le football n’est alors qu’un passe-temps mais ses prestations sur les
terrains poussiéreux sont un jour remarquées par l’entraineur de Foggia, Carlo
Reggalia. Fini pour lui le désossage en série de vieilles carcasses, le voilà
footballeur professionnel en Serie B à 21 ans. A Foggia il gagne un surnom, Cecconetzer. Un jeu de mot sur son nom,
associé à celui du célèbre joueur ouest allemand Günter Netzer à cause de leurs
ressemblances physiques et aussi un profil de jeu similaire. Re Cecconi ne
reste que trois saisons à Foggia (dont une en Serie A en 1970-71) avant de
partir pour la Lazio où il va écrire les plus belles pages de son histoire
footballistique. Pour sa première saison avec les romains, il termine à la
troisième place à seulement deux points du champion, la Juventus. La saison
suivante c’est le sacre tant attendu, la Lazio remporte le premier Scudetto de son histoire. Luciano Re
Cecconi à l’instar de son ami Gorgio Chinaglia est l’un des grands artisans des
succès de cette Lazio de Rome. Comme Chinaglia, il part en Allemagne disputer
la coupe du monde 1974 mais ne prendra part à aucune rencontre, dans cette
coupe du monde qui restera une grande déception côté italien avec une Squadra Azzura éliminée au premier tour.
Luciano Re Cecconi honorera ses deux premières et uniques sélections après le
mondial en septembre puis en décembre 1974. Ensuite il paiera les difficultés sportives
de la Lazio alors que lui-même se montre toujours aussi régulier au milieu de terrain.
Puis vient la saison 1976-77, avec un nouvel entraineur qui fait de Cecconi son
leader sur le terrain. La saison commence sur de meilleurs hospices, Re Cecconi
brille face à la Juventus lors de l’ouverture de la saison et même si la Lazio
s’incline, Luciano Re Cecconi marque un but superbe, le dernier de sa carrière
le voici en vidéo :
Lors de la troisième journée, face
à Bologne c’est la rupture des ligaments croisés qui va stopper la saison de Re
Ceccioni. Puis arrive ce 18 janvier 1977, Re Cecconi reprend la course et s’entraine
seul comme depuis plusieurs jours au stade Flaminio. Une fois sa séance terminée,
il rejoint son coéquipier et ami Pietro Ghedin pour aller diner avec un autre ami,
le parfumeur George Fraticcioli. Ce dernier avant d’aller au restaurant,
souhaite faire un détour chez un bijoutier dans le quartier calme de la
capitale italienne, Collina Fleming pour
lui livrer quelques échantillons de parfums. C’est à partir du moment où ses
trois hommes vont franchir le seuil de cette bijouterie que l’histoire va
tourner au drame et surtout devenir très floue pour chaque protagoniste. Voici
la version officielle : Luciano Re Ceccioni, veut faire une blague au
bijoutier Bruno Tabocchini, il relève le col de son imperméable et crie « Arrêtez
tout ceci, c’est un hold-up ». Une très mauvaise blague à l’heure
de la fermeture et le bijoutier, déjà victime de braquages dans le passé et décidé
à ne plus se laisser faire, braque, pour de vrai lui, son pistolet sur le
joueur de la Lazio. Le coup part et touche Re Cecconi en pleine poitrine qui s’écroule.
Selon les trois autres témoins de la scène, Re cecconi aurait prononcé
seulement ces trois derniers mots : « C’était une blague ». Transporté
à l’hôpital il mourra trente minutes seulement après avoir reçu le coup fatal.
La suite c’est une série d’incohérences entre toutes les versions des trois
seuls témoins : Le coéquipier Pietro Ghedin, le parfumeur George
Fraticcioli et le bijoutier meurtrier Bruno Tabocchini.
Bien entendu l’affaire va faire naître une vive émotion car Luciano Re Cecconi était très populaire à Rome et puis surtout la version à du mal à convaincre. Plusieurs journalistes vont mener leur contre-enquêtes, plusieurs livres vont sortir et mettent tous à mal cette version, qui sent un peu l’improvisation avant l’arrivée des secours et de la police, qui est très rapide. Le bijoutier sera seulement mis en examen pour "excès de légitime défense" mais si tant bien même l’histoire de la blague était vraie pourquoi tirer alors qu’il est seul dans son magasin avec son ami Fraticcioli qu’il connait très bien et qui est venu avec deux de ses amis à lui. Si le bijoutier dit qu’il ne connaissait pas Re Cecconi avant, il est difficile de croire qu’il ignorait qui il était. L'international blond, Re Cecconi ne passait jamais inaperçu dans les rues de Rome et en plus il était avec un autre de ses coéquipiers, tout aussi populaire. Pour ces journalistes il est évident que Tabocchini a dû, avant ou en entrant, annoncer à son ami bijoutier qu’il était avec les deux stars de la Lazio.
Puis les investigations des journalistes vont plus loin et surtout ils réinterrogent Ghedin, qui jusque dans les années 2010 était très marqué par la mort de son ami, sous ses yeux. Il refusera toujours de parler publiquement puis à demi-mots va un peu revenir sur les faits. Dans son livre « Non scherzo. Re Cecconi, la verità calpestata » le journaliste Maurizio Martucci arrive à soudoyer quelques mots à Ghedin, celui-ci lui dira que Cecconi n’avait rien fait qui puisse être interprété comme une tentative de vol armé et ne comprend toujours pas ce qui s’est passé ce jour-là. Il dira au journaliste : « nous sommes rentrés dans cette bijouterie et mon ami est tombé devant moi mais cela aurait pu être tout à fait moi et je serais mort sans savoir pourquoi ». Tout l’entourage de Re Cecconi confirme ce sentiment que cette version de l’histoire n’est pas crédible et le décrivent comme un garçon intelligent et responsable, incapable de faire une telle blague à une personne qu’il ne connaissait pas. Et d’ajouter surtout pas dans ce contexte particulier de la fin des années 70, où les braquages de bijouteries étaient monnaie courante dans les grandes villes italiennes. On ne saura jamais sans doute ce qui s’est réellement passé ce soir-là. Tir accidentel du bijoutier maquillé avec son ami Fraticcioli à l’insu de Ghedin ou une histoire encore plus sombre ? Luciano Re Cecconi avait 28 ans, laissant orphelins le petit Stefano âgé de 2 ans et sa petite fille Francesca qui n’avait que quelques mois à la mort de son père.
Sources :Bien entendu l’affaire va faire naître une vive émotion car Luciano Re Cecconi était très populaire à Rome et puis surtout la version à du mal à convaincre. Plusieurs journalistes vont mener leur contre-enquêtes, plusieurs livres vont sortir et mettent tous à mal cette version, qui sent un peu l’improvisation avant l’arrivée des secours et de la police, qui est très rapide. Le bijoutier sera seulement mis en examen pour "excès de légitime défense" mais si tant bien même l’histoire de la blague était vraie pourquoi tirer alors qu’il est seul dans son magasin avec son ami Fraticcioli qu’il connait très bien et qui est venu avec deux de ses amis à lui. Si le bijoutier dit qu’il ne connaissait pas Re Cecconi avant, il est difficile de croire qu’il ignorait qui il était. L'international blond, Re Cecconi ne passait jamais inaperçu dans les rues de Rome et en plus il était avec un autre de ses coéquipiers, tout aussi populaire. Pour ces journalistes il est évident que Tabocchini a dû, avant ou en entrant, annoncer à son ami bijoutier qu’il était avec les deux stars de la Lazio.
Puis les investigations des journalistes vont plus loin et surtout ils réinterrogent Ghedin, qui jusque dans les années 2010 était très marqué par la mort de son ami, sous ses yeux. Il refusera toujours de parler publiquement puis à demi-mots va un peu revenir sur les faits. Dans son livre « Non scherzo. Re Cecconi, la verità calpestata » le journaliste Maurizio Martucci arrive à soudoyer quelques mots à Ghedin, celui-ci lui dira que Cecconi n’avait rien fait qui puisse être interprété comme une tentative de vol armé et ne comprend toujours pas ce qui s’est passé ce jour-là. Il dira au journaliste : « nous sommes rentrés dans cette bijouterie et mon ami est tombé devant moi mais cela aurait pu être tout à fait moi et je serais mort sans savoir pourquoi ». Tout l’entourage de Re Cecconi confirme ce sentiment que cette version de l’histoire n’est pas crédible et le décrivent comme un garçon intelligent et responsable, incapable de faire une telle blague à une personne qu’il ne connaissait pas. Et d’ajouter surtout pas dans ce contexte particulier de la fin des années 70, où les braquages de bijouteries étaient monnaie courante dans les grandes villes italiennes. On ne saura jamais sans doute ce qui s’est réellement passé ce soir-là. Tir accidentel du bijoutier maquillé avec son ami Fraticcioli à l’insu de Ghedin ou une histoire encore plus sombre ? Luciano Re Cecconi avait 28 ans, laissant orphelins le petit Stefano âgé de 2 ans et sa petite fille Francesca qui n’avait que quelques mois à la mort de son père.
Laziowiki.org
Ilpost.it
Arsenal F.C special Trivia
The challenge on Twitter and Facebook and then all the answers in pictures.
01-Dennis BERGKAMP - Inter 1993-94 + Arsenal F.C 1998-99
02-Emmanuel PETIT - AS Monaco 1991-92 + Arsenal F.C 1999-00
03-Marouane CHAMAKH - Girondins Bordeaux 2003-04 + Arsenal F.C 2010-11
04-Rémi GARDE - Olympique Lyonnais 1990-91 + Arsenal F.C 1998-99
05-Abou DIABY - AJ Auxerre 2005-06 + Arsenal F.C 2010-11
06-Sylvain WILTORD - Stade Rennais 1995-96 + Arsenal F.C 2000-01
07-Alexis SANCHEZ - Udinese 2008-09 + Arsenal F.C 2014-15
08-Giovanni VON BRONCKHORST - Feyenoord 1996-97 + Arsenal 2001-02
09-Mathieu DEBUCHY - Lille 2005-06 + Arsenal F.C 2014-15
10-Marc OVERMARS - Ajax 1992-93 + Arsenal F.C 1999-00
11-Nigel WINTERBURN 1986-87 + Arsenal F.C 1999-00
12-Davor SUKER - Dynamo Zagreb 1990-91 + Arsenal F.C 1999-00
13-SILVINHO -Corinthians 1996-97 + Arsenal 2000-01
14-Guillaume WARMUZ - Olympique de Marseille 1988-89 + Arsenal 2002-03
15-Martin KEOWN - Aston Villa FC 1986-87 + Arsenal F.C 2001-02
16-Chris KIWOMYA - Ipswich Town 1993-94 + Arsenal F.C 1995-96
17-John JENSEN - Hamburger SV 1989-90 + Arsenal F.C 1993-94
18-Steve BOULD - Stoke City 1984-85 + Arsenal F.C 1998-99
19-Aliaksandr HLEB - VFB Stuttgart 2002-03 + Arsenal F.C 2005-06
20-Robert PIRES - FC Metz 1995-96 + Arsenal F.C 2005-06
Who are this 20 ARSENAL FC's former players ? pic.twitter.com/7BmGZYZ3Vs— Old School Panini (@OldSchoolPanini) 16 février 2018
01-Dennis BERGKAMP - Inter 1993-94 + Arsenal F.C 1998-99
02-Emmanuel PETIT - AS Monaco 1991-92 + Arsenal F.C 1999-00
03-Marouane CHAMAKH - Girondins Bordeaux 2003-04 + Arsenal F.C 2010-11
04-Rémi GARDE - Olympique Lyonnais 1990-91 + Arsenal F.C 1998-99
05-Abou DIABY - AJ Auxerre 2005-06 + Arsenal F.C 2010-11
06-Sylvain WILTORD - Stade Rennais 1995-96 + Arsenal F.C 2000-01
07-Alexis SANCHEZ - Udinese 2008-09 + Arsenal F.C 2014-15
08-Giovanni VON BRONCKHORST - Feyenoord 1996-97 + Arsenal 2001-02
09-Mathieu DEBUCHY - Lille 2005-06 + Arsenal F.C 2014-15
10-Marc OVERMARS - Ajax 1992-93 + Arsenal F.C 1999-00
11-Nigel WINTERBURN 1986-87 + Arsenal F.C 1999-00
12-Davor SUKER - Dynamo Zagreb 1990-91 + Arsenal F.C 1999-00
13-SILVINHO -Corinthians 1996-97 + Arsenal 2000-01
14-Guillaume WARMUZ - Olympique de Marseille 1988-89 + Arsenal 2002-03
15-Martin KEOWN - Aston Villa FC 1986-87 + Arsenal F.C 2001-02
16-Chris KIWOMYA - Ipswich Town 1993-94 + Arsenal F.C 1995-96
17-John JENSEN - Hamburger SV 1989-90 + Arsenal F.C 1993-94
18-Steve BOULD - Stoke City 1984-85 + Arsenal F.C 1998-99
19-Aliaksandr HLEB - VFB Stuttgart 2002-03 + Arsenal F.C 2005-06
20-Robert PIRES - FC Metz 1995-96 + Arsenal F.C 2005-06
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