HONDURAS 1982

Le Honduras réalise son plus grand exploit footbalistique au cours de la Coupe des nations de la CONCACAF 1981, qui tient lieu de tours préliminaires à la Coupe du monde 1982. Dirigée par le charismatique Chelato Uclés, la sélection termine en tête de la poule d'Amérique centrale et se qualifie pour la poule finale de la CONCACAF, qu'elle organise en novembre 1981 à domicile. Elle y termine de nouveau à la première place, devant le Salvador, le Mexique, le Canada, Cuba et Haïti, et remporte ainsi son premier titre de champion de la CONCACAF. Elle y gagne de surcroît son billet pour la phase finale de la Coupe du monde 1982, avec son dauphin le Salvador de Jorge "El Magico" Gonzalez. Cette équipe du Honduras ne va pas finir de surprendre la planète du football. En Espagne, pour son premier match, la sélection hondurienne arrive en pleine décontraction au moment d'affronter le pays organisateur. Si l'Espagne est un des favoris à la victoire finale, le Honduras lui est donner à 1 500 contre un par les bookamkers de Londres pour soulever le trophée un mois plus tard. Pourtant à la fin du match, l'Espagne perdit de son flambant et regagna les vestiaires sous les sifflets et les insultes de son public. En effet le Honduras tient en échec, à la surprise générale, l'Espagne, à Valence. Après l'ouverture du score précoce d'Héctor Zelaya, l'Espagne n'égalise qu'en fin de match sur un pénalty, qui fera couler beaucoup d'encres sur l'arbitrage maison qui va accompagner la Roja pendant sa coupe du monde. Car ce jour-là, il fallait bien l'aide de l'arbitre pour venir sauver les espagnols face à une équipe du Honduras, solidaire, avec un gardien de très haute valeur, des attaquants remuants et habiles et surtout des défenseurs et trois milieux de terrains remarquablement organisés et ayant apporté la preuve qu'une défense de zone bien faite était une sacrée garantie d'imperméabilité.

Donc on attendait évidemment avec curiosité la seconde sortie du Honduras face à l'Irlande du Nord après l'exploit réalisé face à L'Espagne. Et les 4 000 spectateurs seulement du stade Luis Casanova à Saragosse n'allaient pas être déçus. Car à défaut d'être des candidats au titre, les honduriens de Chelato Uclés vont administrer une nouvelle fois la preuve face aux irlandais du nord, qu'ils n'avaient décidément rien de "faire valoir" et que les deux ans et demis de préparation qu'ils ont subis avant de débarquer en Espagne, avec leur humilité rafraîchissante et bien sympathique, ont tout a fait porté leurs fruits. Malgré un bu concédé rapidement, la sélection de Chelato Uclés faisait l'essentiel du jeu et égalisèrent fort justement en seconde période. es deux équipes se séparaient sur ce score de un partout et cela donnait au Honduras son deuxième match nul en deux rencontres? Tout aussi mérité que celui face à l'Espagne. Le dernier match face à la Yougoslavie et sa constellation d'étoiles s'avérait décisif et une fois de plus le Honduras fut à la hauteur de l'enjeu, ne s'inclinant qu'à la dernière minute sur un pénalty, justifié cette fois-ci. Le Honduras quittait l'épreuve sur une faute de jeunesse mais avait été l'une des belles sensations de ce Mundial espagnol. Voici le résumé de la rencontre qui surprit toute l'Espagne.


Et voici en dessin les deux buts du Honduras lors de cette coupe du monde :

Danny Cadamarteri, l'étoile filante du foot anglais

Au cours de ce 18 octobre 1997 à Liverpool, le football va prouver, une fois de plus, qu'il peut engendrer les histoires les plus folles. En ce début de saison, Everton n'est plus que l'ombre du géant qu'il était au milieu des années 80. L'équipe est dix-huitième de First Division et donc virtuellement relégable, avant d'affronter son plus grand rival, les Reds de Liverpool dans le derby de la Mersey. Ils étaient tous là, à Goodison Park, pour réclamer la tête de leur président mais à l'arrivée, ils ont salué l'un des plus grands espoirs du football anglais, Danny Cadamarteri. Oui, les supporters d'Everton avaient peur et ils en avaient plus qu'assez de leur président, Peter Johnson qui, à l'intersaison leur avait promis un grand entraîneur et des renforts de qualité. A l'heure d’affronter le voisin honni, ils attendaient toujours...Après trois mois d'incertitude, Johnson avait finalement choisi le légendaire Howard Kendall, l'homme qui avait apporté deux titres de champions, une Cup et une coupe d'Europe dans les années 80, les heures de gloire de l'ère moderne des Tofees. Mais cette décision était un coup d'épée dans l'eau pour les supporters, car non accompagné d'arrivée de nouveaux joueurs et la situation est alarmante selon eux, d'autant plus que trois jours plus tôt, Everton a pris une leçon de football à Coventry en coupe de la ligue (élimination 4-1, nette et sans bavures). Ce match est jugé aujourd'hui encore par les supporters comme le match le plus calamiteux d'Everton aux cours de cette décennie, pourtant loin d'être la plus glorieuse du club. L'équipe avait été si nulle que Kendall, demanda à la fin du match à ses joueurs de rester sur le terrain pour y faire le décrassage. Pour les médias, c'était une simple ruse pour éviter la conférence de presse et les questions gênantes sur le vrai niveau d'Everton. Alors sonna l'heure de la colère et de la révolte. Avant le derby, Goodison Park croulait sous les tracts réclamant la démission du président. Et puis, magie du ballon rond, quatre vingt dix minutes plus tard, tout était oublié ! Une performance incroyable d'Everton qui domina de la tête et des épaules les Reds de Liverpool de Michael Owen et Robbie Fowler. Mais le héros du derby ne fut pas un joueur aussi connu que les deux internationaux anglais, non il s'agit de Danny Cadamarteri, âgé de dix-huit ans. Né à Bradford, fan de Georghe Weah, supporter d'Arsenal, le gamin a posé des problèmes insolubles à la défense de Liverpool pendant une heure et demie, le tout sous les yeux du sélectionneur national, Glenn Hoddle. Danny Cadamarteri inscrira le deuxième but des Tofees, celui de la victoire 2-0. C'était seulement son sixième match avec Everton et le jeune homme inscrivait ce jour-là son cinquième but !
Un espoir qui monte alors et, avec lui, son club se met à espérer. Kendall ne se trompe pas et après match c'est lui qui félicite en premier : "Cadamarteri a été très, très bon. Il a marqué un super but, qui a fait un bien fou à l'équipe". Et le héros du jour a été assailli à son tour par un flot de questions des journalistes, le jeune espoir anglais reste serein : "Quand l'entraîneur m'a dit qu'il m'avait choisi, je savais que ce serait mon jour. J'ai déjà marqué contre Arsenal mais c'est encore mieux de l'avoir fait contre Liverpool". Mais vous vous dites c'est bizarre ce nom ne me dit pas grand chose. Et bien rien d'étonnant car le but de Cadamarteri contre Liverpool sera le dernier de la saison et cet espoir restera qu'une étoile filante dans le ciel du football anglais. Il jouera encore 4 saisons de plus à Everton mais n’inscrira que 8 buts. La suite ce sera une carrière entre division 2 et 3 voir même division 5 et pas moins de 13 clubs en 14 saisons. Le joueur d'ailleurs est toujours en activité, à 34 ans il évolue à Carlisle United en division 3 anglaise, en tout cas bien loin de la grande carrière internationale qu'on lui promettait lors de ses débuts fracassants. Et voici le résumé vidéo de ce derby marqué du sceau du talent de Cadamarteri, d'ailleurs aujourd'hui encore on appelle ce derby : the 'Cadamarteri' derby

CERCI-IMMOBILE vs PULICI-GRAZIANI

Pour la première fois depuis longtemps, le Torino F.C va fournir à la Squadra Azzura trois joueurs pour la prochaine coupe du monde au Brésil. Tout d'abord le défenseur, Matteo Darmian, ensuite et surtout la paire d'attaquant Granata qui a rendu folle toutes les défenses du Calcio cette saison, Alessio Cerci & Ciro Immobile. 
Après avoir connu des grandes difficultés sportives et financières, le Toro vient de réaliser sa plus belle saison depuis le milieu des années 80 (voir les sujets sur le Torino F.C 1984-85 et le Torino F.C 1986-87). Ciro Immobile, l'avant centre a terminé Capocannoniere avec 23 réalisations (une première depuis la saison 1976-77 pour un joueur du Toro). Alessio Cerci n'est pas en reste non plus avec 13 buts inscrits et une pléiade de passes décisives pour son alter-égo. Un duo qui a fait revivre l'espace d'une saison, beaucoup de souvenirs chez les supporters du Toro. En effet les Tifosi du Torino, n'ont pas hésité, dès le début de saison à comparer et à revoir en Cerci-Immobile, deux idoles des années 70. À l’époque, le duo de canonniers est composé de Paolo Pulici et Francesco « Ciccio » Graziani. Lors de la saison 1975-76, le premier termine meilleur buteur de Serie A avec 21 réalisations, le second se positionne sur la deuxième place du podium, avec 15 pions. Cette année-là, le Toro est sacré champion d’Italie. L’unique Scudetto après la tragédie de Superga qui emporta le Grande Torino. 
Les deux attaquants sont alors ce qui se fait de mieux dans le football italien dans cette première moitié des seventies, Paolo Pulici termine trois fois Capocannoniere (1972-73, 1974-75 et 1975-76) tandis que son compère, Francesco Graziani, lui glane ce titre honorifique en 1976-77. 38 ans plus tard, Cerci et Immobile rouvrent les vannes du passé. Ils marquent, se font des passes décisives et font gagner leur équipe. Et si Pulici et Graziani ont fait le bonheur du Torino (134 buts en 335 rencontres avec le Toro pour Pulici et 97 buts en 221 rencontres pour Graziani), ils ont aussi marqué de leurs empreintes l'histoire de la Squadra Azzura, Grazziani étant champion du monde en 1982, un destin qui fait rêver les deux attaquants du Toro (même si Immobile ne  sera plus sur les bords du Pô la saison prochaine).

Sources
Tuttosport
So Foot

Top Ten Scorers in France National Team History

10. Jean Vincent, 22 goals, 46 caps

09. Sylvain Wiltord, 26 goals, 92 caps

08. Karim Benzema, 27 goals, 81 caps 

07. Youri Djorkaeff, 28 goals, 82 caps

06. Jean-Pierre Papin, 30 goals, 54 caps

05. Just Fontaine, 30 goals, 21 caps

04. Zinédine Zidane, 31 goals, 108 caps

03. David Trezeguet, 34 goals, 71 caps

02. Michel Platini, 41 goals, 72 caps

01. Thierry Henry, 51 goals, 123 caps

Miguel HERRERA

Miguel Ernesto Herrera Aguirre  is a former Mexican footballer and current manager of the Mexico national football team. Born in Cuauhtepec, Hidalgo, Mexico, Herrera made his debut with Atlante in 1986. He then transferred to Santos Laguna in 1988, making 30 appearances and scoring four goals. He had another stint with Atlante in 1989, before moving to Querétaro in 1990. He once again transferred to Atlante, where he would remain until 1995, making 125 appearances and scoring nine goals. He was then sold to Toros Neza. The club would reach its first final in the "Verano '97" season, ultimately losing to Guadalajara by a score of 7–2. In 1999, Herrera returned to Atlante for one more year before he retired. A Mexican international, Herrera participated in the 1993 Copa America tournament with Mexico, winning second place. Mexico lost the final against Argentina, 2–1. In 2002, only two years after retiring, Herrera came back to coach his former club Atlante. He would remain manager for two years, but resigned in 2004 after failing to take Atlante to a final.

Once Upon A Time : Luiz Felipe SCOLARI

Family has been a key ingredient in the footballing life of Luiz Felipe Scolari. From Italian stock, the fact that as a centre-back he could not match the talent of his father, Benjamin, meant that Scolari's modest playing career would reap only one title. Born in the city of Passo Fundo, in the southern state of Rio Grande do Sul - Brazil's cowboy country - Luiz Felipe aimed to follow in the footsteps of Benjamin, who was considered one of the best central defenders in the region in the 1940s.Family values were reinforced by Benjamin, who operated a small warehouse, and by his mother, Dona Cecily. Home life was simple and without the distraction of television. Starting at 17 in the junior team of Aimore, Scolari would go on to play for Caxias, Juventude, Novo Hamburgo and CSA, but was rated by his contemporaries as perna-de pau (wooden leg). One of his early coaches, Carlos Froner, observed that "Scolari was capable of winning respect from team-mates and engendering fear among opposing strikers. The skilful players would shout 'here comes the truck' every time he went for the ball". Scolari went on to captain many of the sides for whom he played. His virtues were prized in a gaucho (cowboy) football culture that, while nurturing talents such as Ronaldinho and Alexandre Pato, was seen as closer to the more physical football of Argentina than the extravagant vistoso style favoured in Rio de Janeiro and Sao Paulo. With a professional qualification in physical education, Scolari's CV shared common ground with his peers. After a rapid passage through several clubs early in his career, he followed the well-beaten track to the Middle East and Japan. If the turning point was by helping unfashionable Criciuma win the Copa do Brasil in 1991, lift-off was achieved with Gremio and Palmeiras later in the Nineties. But Scolari became as famous for his abrasive tactics and instructions as he did for the quality of football. Outbursts at fans, players and directors became his trademark.Winning the Copa Libertadores, the South American equivalent of the European Cup, twice established Scolari among the front rank of Brazilian coaches when the country's FA wanted someone, in 2001, to rescue their World Cup campaign. In assembling his winning team of 2002, Scolari resisted pressure to recall Romario and included several players, such as Edilson, Belletti and Anderson Polga, who were far from popular among the public or press. In Japan and Korea, the introduction of Kleberson and a 3-5-2 system proved inspired, providing a platform for Ronaldo and Rivaldo to thrive. A devout Catholic, Scolari also harnessed solidarity through dressing-room prayers with a squad that included several evangelical Christians.
Source : The Telegraph

The "plate of chicken" incident

One of the best stupid injuries ever. 

In the last topic, we saw a video clip for a Italian TV show. In this clip on the 1993-94 season manu players of Serie A like Gullit, Lombardo, Boban, Di Canio... and Ivano Bonetti. Ivano BONETTI was a modest player in Serie A and played 152 games in Top Italian league from 1981 to 1996 in nine different teams. His best moments wera at Bologna for the 1988-89 et 1989-90 seasons when he was a true starter. Then he had a lack of consistency to make a great carreer. So in the middle og the 90's he crossed the channel and played for Grimsby Town F.C. in England. And it's in England that the The "plate of chicken" incident take place. Trawl back through the sporting archives and there’s no end of examples across the board, but particularly in football. Alex Ferguson, of course, is the most famous exponent of the hairdryer approach and once dared to kick a boot in the direction of David Beckham’s manicured eyebrows. Perhaps the most bizarre incident of dressing room rage, however, was an unseemly brawl between former Grimsby Town manager Brian Laws and Italian footballer Ivano Bonetti way back in 1996. 

In February of that year, Grimsby fell to a 3-2 defeat away to Luton Town despite having beaten the same opposition 7-1 only a few weeks before. Obviously failing to understand how such a reverse result could happen and looking for a scapegoat to blame, Laws turned on Bonetti, the stereotypical fancy foreigner, whom Laws felt simply hadn’t tried hard enough. What was it about Lionel Messi potentially struggling on a wet night against Stoke? We don’t really buy that dated logic about foreigners struggling to cope in English football but Bonetti’s performance was obviously the embodiment of that rather half-assed theory. Anyway, a blazing row erupted between the pair in the dressing room afterwards, resulting in Laws throwing the nearest thing to his grasp – which just so happened to be a plate of chicken wings – in Bonetti’s direction, clocking him in the face and breaking his cheekbone in the process. Dressing room tales can often grow legs (delicious chicken legs in this case) and soon be blown out of all proportion, but this one was no joke. Observe the extent of Bonetti’s injuries after the incident (see picture below) :
At the end of the season Bonetti left for Tranmere on a free transfer, Laws lasted until November of the next season. At the start of season 1997 – 98 Bonetti turned up at Crystal Palace shortly before returning to Italy to join Genoa. He finished his career in Scotland with his older brother Dario. Indeed Ivano Bonetti's family is a great family of football.  His father Aldo played for Brescia until the Second World War, brother Mario played for Atalanta but the most famous member of the Bonetti's posse is Dario. Dario Bonetti  played mainly for Roma of Barron Liddas in the top of 80's and won two caps for Italy.

Sigla di Mai Dire Gol '93/'94

Une petite perle que m'a envoyé un follower italien sur Twitter. Ce n'est pas une chanson humanitaire comme  "la chanson des restos" repris chaque année par les Enfoirés ou encore le "We are the world" par USA for Africa, non il s'agit juste d'un générique TV pour une émission italienne et les paroles sont assez simples, en gros il faut regarder l'émission (Mea Culpa pour le résumé grossier de cette oeuvre majeure). Cela démarre tambour battant (l'expression est bien choisie) avec Ruud Gullit et Attilio Lombardo puis vous trouverez dans la vidéo, entre autres : Stefano Tacconi, Pier luigi Casiraghi, Zvominir Boban, Ruben Sosa, Gianluca Pagliuca, Alessandro Melli, Angelo Peruzzi, Beppe Signori, Paolo Di Canio ou encore Claudio Taffarel, Stefano Nava, Ivano Bonetti, Giovanni Stroppa ou Roberto Mancini. Voici les principaux artistes de ce clip en Panini pour la saison 1993/94, année du clip, puis cette fameuse vidéo, à voir à tout prix (dommage que Téléfoot n'est jamais osé faire la même chose).

C'era una volta Andrea PIRLO

Andrea Pirlo ha giocato per tutte le squadre giovannisime italiane a U15 , U18 e U21 livello, capitano e leader nella vittoria nel Campionato Europeo UEFA Under 21 Football Championship 2000 è stato Golden Player e Top Scorer del torneo.Raggiunge la nazionale maggiore italiana durante il round di qualificazione per la Coppa del Mondo FIFA 2002 e capitano della squadra nazionale ad una medaglia di bronzo alle Olimpiadi del 2004. Più tardi, è stato determinante nella vittoria della Coppa del Mondo FIFA 2006, ha finito come fornitore numero 1 d'assist nel torneo. Ma PIRLO ha iniziato la sua carriera professionnal nel 1995, all'età di 16, Pirlo ha fatto il suo debutto per Brescia contro la Reggina. Pirlo è stato in grado di entrare nel prima squadra, però, Pirlo è stato notato dal tecnico Mircea Lucescu dell' Internazionale Milano, che ha firmato il fantasista, e l'Inter ha finito ottavo nella campagna 1998-1999 di Serie A . Inter ha prestato Pirlo per Reggina per la stagione 1999-2000. Dopo una stagione impressionante, è tornato all'Inter, ma era ancora una volta in grado di rompere in prima squadra, facendo solo quattro presenze in campionato e ha trascorso la seconda metà della stagione in prestito al ex squadra, Brescia. Qui è venuto prima apparizione di Andrea PIRLO a solo 16 in Serie A ! 
Grazie Enzo

Once Upon a Time : Andrea PIRLO

Andrea PIRLO has played for the Italian youth teams at U15, U18 and U21 level, captaining and leading the latter to victory in the 2000 UEFA European Under-21 Football Championship as the Golden Player and Top Scorer of the tournament. He joined the Italian senior side during the qualification round for the 2002 FIFA World Cup and captained the national team to a bronze medal in the 2004 Olympics. Later, he was instrumental in their victory in the 2006 FIFA World Cup, finishing as the top assist provider. But PIRLO started his professionnal career in 1995, at the age of 16, Pirlo made his debut for Brescia against Reggina. After breaking into the Brescia first team, Pirlo was spotted by Internazionale coach Mircea Lucescu, who signed the playmaker. Pirlo was unable to break into the first squad, however, and Inter finished eighth in the 1998–99 Serie A campaign. Inter loaned Pirlo to Reggina for the 1999–2000 season. After an impressive season, he returned to Inter but was once again unable to break into the first team, making just four league appearances and spent the second half of the season on loan at former club, Brescia. Here it come Andrea PIRLO's first appearance at only 16 in Serie A ! 
All the stickers of the  deep-lying playmaker (clic on the picture for a better quality) :

The Argentine diaspora of Catania

After Mihajlović's departure to Fiorentina, Catania appointed Marco Giampaolo as new head coach for the 2010–11 season; on January 2011, Catania decided to remove Giampaolo from his position due to poor results and replace him with former Argentine star Diego Simeone, who had no previous experience at Serie A level but managed to guide the Sicilians to safety before to part company by the end of the season, after only four months in charge of the team. With the last movements in this winter (Bergressio & Schelotto), Catania had 13 players from the country of tango and by the way even the coach with Diego Simeone's arrival. With Simeone as coach, Catania did a points record in it’s history (46 points) ! Catania continued to reinforce the Italo-Argentine base. It’s like they want to reciprocate the “hospitality” in honor of the thousands of Sicilians who emigrated to Argentina in the 19th and 20th century, for the 2013-04 season Catania still have 13 argentine players in their roster. And now have a look on the Panini sticker of the Argentine community in Catania for 2010-11 season (It miss only Pablo Barrientos). Click on the picture for a better quality
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