Ils ont joué au PSG et à l'OM

L'axe Paris-Marseille ne connait pas de rivalité pour les agents quand il s'agit de transfert. En recensant pas moins de cinquante et un joueur professionnels qui ont porté les couleurs des deux équipes, on peut dire même que c'est une des liaisons les plus courues de l'histoire de notre championnat en matière de transfert. Cela a commencé dès la création du PSG en 1970 où les marseillais Jean-Pierre Destrumelle et Jean Djorkaeff rejoignent la capitale pour connaitre la première saison du club parisien. A noter tout de même que sur ces cinquante et un transferts, il y a eu beaucoup de coup de poker qui n'ont pas donné grand chose. C'est pour cela que seul trente joueurs ont leur vignettes Panini avec les deux clubs. Pour les autres vous les retrouverez en fin de sujet avec une seule vignette, quand il en existe une. 

Gabriel Heinze
PSG 2001-04 puis OM 2009-11

Édouard Cissé
PSG 1997-2007 puis OM 2009-11


Modeste M'Bami
PSG 2003-06 puis OM 2006-09

Lorik Cana
PSG 2003-05 puis OM 2005-09

Peguy Luyindula
OM 2004-07 puis PSG 2007-12

Fabrice Fiorèse
PSG 2002-04 puis OM 2004-07

Frédéric Déhu
PSG 2000-04 puis OM 2004-06

Pascal Nouma
PSG 1998-92 et 1994-96 puis OM 2001-02

Bruno N'Gotty
PSG 1995-98 puis OM 2000-02

Zoumana Camara
OM 2000-02 puis PSG 2007-14

Stéphane Dalmat
OM 1999-2000 puis PSG 2000

Peter Luccin
OM 1998-2000 puis PSG 2000-01

Jérôme Leroy
PSG 1995-99 puis OM 1999-2002 puis PSG 2002-03

Florian Maurice
PSG 1997-98 puis OM 1998-2001

Daniel Bravo
PSG 1989-96 puis OM 1998-99

Patrick Colleter
PSG 1991-96 puis OM 1997-99

Claude Makelele
OM 1997-98 puis PSG 2008-11

Xavier Gravelaine
PSG 1993-96 pios OM 1996-98

Jocelyn Angloma
PSG 1990-91 puis OM 1991-94

Bruno Germain
OM 1988-91 puis PSG 1991-93

William Ayache
PSG 1986-87 puis OM 1987-88 

Benoît Cauet
OM 1987-90 puis PSG 1996-97

Yvon Le Roux
OM 1987-89 puis PSG 1989-90

Claude Lowitz
PSG 1985-87 puis OM 1987-88

François Brisson
PSG 1975-81 puis OM 1986-87

Thierry Laurey
OM 1986-87 puis PSG 1990

Saar Boubacar
OM 1975-79 puis PSG 1979-83 puis OM 1983-86

Jean-Pierre Tokoto
OM 1968-72 puis PSG 1975-77

Jacky Novi
OM 1967-73 puis PSG 1974-77

Jean Djorkaeff
OM 1966-70 puis PSG 1970-72

Et il y avait aussi :
Habib Beye PSG de 1997-98 puis OM 2003-07; Fabrice Abriel PSG 1999-02 puis OM 2009-11; André Luiz Moreira OM 2001-02 puis PSG 2002-04; George Weah PSG 1992-95 puis OM 2000-01; Cyrille Pouget PSG 1997 puis OM 1999-2002; Kaba Diawara OM 1999 puis PSG 2000-03; Djamel Belmadi PSG 1994-96 puis OM 1997-2003; Jérôme Alonzo OM 1995-97 puis PSG 2001-08; Daniel Xuereb PSG 1986-89 puis OM 1991-92; Laurent Fournier OM 1990-91 puis PSG 1991-94; Alain Roche OM 1989-90 puis PSG 1990-98; Bernard Pardo OM 1990-91 puis PSG 1991-92; Fabrice Moreau PSG 1984-89 puis OM 1995-96; François Lemasson PSG 1979-84 puis OM 1997-99; Jérôme Lorant PSG 1979 puis OM 1985-86; Marcel De Falco OM 1979-83 puis PSG 1983-84; Michel N'Gom OM 1977-81 puis PSG 1981-84; Ilija Pantelić OM 1971 puis PSG 1974-77; Jean-Pierre Destrumelle OM 1966-70 puis PSG 1970-72; Jean-Pierre Dogliani OM 1961-64 puis PSG 1973-76; Jean-Louis Leonetti OM 1956-60 puis PSG 1971-72 et 1973-75

PUEL Junior & PUEL Senior

Dans la filiation père-fils qu'Old School Panini retrace dans sa catégorie Famous Fathers, les Puel ont une place à part. Si souvent dans la relation père-fils chez les footeux, l'héritier cherche à se faire un prénom, pour Grégoire Puel tout est différent. Il faut dire que le jeune homme n'a pas hésité à se faire tatouer un Forza Puel sur le mollet au moment où son père était au cœur de la tempête à Lyon. Signe que le rejeton n'est pas ingrat et sait ce qu'il doit à papa. La trajectoire  de sa jeune carrière plaide en sa faveur. Grégoire Puel a changé de centre de formations au gré de la carrière de papa. Il débute chez les jeunes à Monaco, mais quand Puel Senior est remercié et rebondi à Lille, Puel Junior part dans le nord. Quand papa est débauché à Lyon, le fiston rejoint le centre de formation de l'OL. Et quand Claude PUEL est viré de Lyon, le fiston Grégoire ne fait pas long feu du côté de Tola Vologe. Alors quand Claude Puel reste sans club à entraîner, le fils lui aussi se retrouve sans club. Du coup le papa revient aux affaires et s'engage avec Nice et le fiston aussi du coup. Alors quand depuis le début de saison 2013-14, le fils est devenu titulaire au poste d'arrière droit des aiglons ce n'est sûrement du qu'à ses mérites. Et tant pis si il est au centre du flot de toutes les critiques de la part des supporters niçois, tant pis si il est souvent débordé et que la défense niçoise est pointé du doigt, tant pis si les critiques le juge limité en défense et qu'il est le joueur de l'effectif des aiglons le moins bien noté chez l'Equipe ou France Football. Il faut dire aussi qu'il évolue dans "un environnement pas évident" dixit son entraîneur, qui ne cherche pas à recruter d'autres défenseurs vu que pour l'instant il juge les performances de son fils de la manière suivante : "Par rapport à la progression d’un jeune joueur, ça correspond à ce que j’en attends". Grégoire PUEL est sûrement à l'aube d'une longue carrière et peut être que comme son père il jouera plus de 600 matchs professionnels, du moment que ce dernier reste entraîneur au plus haut niveau. 

Aldo MALDERA III

Si le joueur emblématique de Milan est surnommé Aldo MALDERA III c'est tout simplement parce qu'il est le troisième frère d'une fratrie très fortement lié au Milan AC. L’aîné Luigi Maldera ou MALDERA I a été formé au Milan AC, comme ses deux petits frères. Après 3 saisons chez les Rossoneri entre 1968 et 1971, il fera l'essentiel de sa carrière à Catanzaro entre Serie A et Serie B, enfin surtout Serie B. Le second frère Attilio Maldera ou MALDERA II, lui a eu la carrière la plus modeste. Formé également au Milan, il ne jouera aucune rencontre avec l'équipe première. Il évoluera à Cesena, Alessandria ou Bari entre Serie C et quelques saisons en Serie B. Enfin le petit dernier Aldo Maldera fût le plus brillant des trois frères. Produit de la maison Rossoneri, il est prêté en début de carrière à Bologne pour apprendre ses gammes, avant de revenir du côté de San Siro pour remplacer l'immense arrière gauche allemand Karl-Heinz Schnellinger. Et le jeune Aldo Maldera ne va pas faillir à sa tâche. Celui qu'on surnomme aussi "il Cavallo" va se distinguer par son incroyable rapidité, ses dribbles déroutant, ses multiples courses le long de son couloir et, surtout, par sa patte gauche qui lui permet d'inscrire de nombreux buts. Trente réalisations en 10 saisons avec le Milan en Seria A pour cet arrière gauche, qui remportera le Scudetto en 1979. Quand son club se retrouve impliqué dans le scandale du Totonero et est relégué en Serie B, il s'envole pour Rome où il va évoluer avec l'AS Roma et faire partie de la grande équipe du Baron Liddas, championne d'Italie en 1983 et finaliste malheureux de la coupe d'Europe des clubs champions en 1984. Aldo Maldera jouera pour l'équipe d'Italie lors de la coupe du monde 1978 et aussi lors du championnat d'Euope 80 chez lui en Italie. Aldo MALDERA est mort le 1er aout 2012 des suites d'un cancer, il avait 58 ans. 
La Fratrie MALDERA
Une fratrie très lié au Milan AC
Immense joueur, je m'étais permis l'autre jour un commentaire déplacé sur Facebook et Twitter en légende de cette vignette. Il faut dire que "il Cavallo" a un look terrible sur celle-là, ce qui me faisait dire : "Sans déconner le Milan a filé un sandwich à Aldo le Clodo car il manquait un joueur le jour de la photo ?". Bien entendu ce n'est qu'un trait d'esprit. 

Chrisitan VIERI's father

Roberto "Bob" Vieri is an Italian retired professional footballer who played as a striker. Vieri started playing in the Fiorentina youth system before being loaned to Prato in 1964-65, where he scored 11 goals in 24 matches and caused interest by Sampdoria of Serie B. He played for Sampdoria, both in Serie B and Serie A, until 1969-70, when Juventus signed him for a then-record 800 millions Italian lira bid, plus Francesco Morini and Romeo Benetti. The next year, Vieri moved to AS Roma; in 1972-73 he played for Bologna, where he stayed until January 1977, when he decided to accept an offer by Australian football club Marconi Stallions, where he played until 1982, except for a one-year stint back at Prato. In 1983 he moved to Queanbeyan (New South Wales) where he became the player/coach of NSW State League club Inter Monaro for one year. In 1984 he returned to Sydney as part of the Marconi Stallions coaching staff. His sons Christian and Massimiliano are also professional footballers, who both appeared at the international level respectively for Italy and Australia. The most famous, Christian was born in Italy in 1973 at bologna when his father played for local team. His young brother was born in Australia and made his international debut for Australia against Turkey in a friendly match in 2004. The father and the two brothers all played once in their career for great Juventus :

Teddy SHERINGHAM

Le joueur le plus âgé à avoir jamais marqué en Premier League (à 40 ans et 268 jours) aura surtout marqué l'Angleterre par ses années à Manchester United, et son but égalisateur à la dernière minute de la formidable finale de la Ligue des Champions 1999 avant qu'Ole Gunnar Solskjear ne donne l'avantage définitif à MU quelques secondes plus tard. Retour sur la carrière d'un papy du foot. Teddy Sheringham (de son vrai nom Edward Paul Sheringham) commença sa carrière professionnelle à Millwall alors qu'il n'avait que 16 ans. Il inscrira son premier but professionnel en Janvier 84 en 3ème division anglaise. Après un prêt fructueux en première division suédoise à Djugardens IF où il scorera 13 fois en 21 rencontres, il retournera à Millwall et s'imposera à la pointe de l'attaque où il terminera 4 fois meilleur buteur du club. Il participera à la montée du club en première division où il se maintiendra une saison avant de redescendre. L'exceptionnelle saison de Sheringham cette année-là, avec 33 buts en championnat, ainsi que la non-remontée de Millwall conduira à un inévitable départ après 8 riches saisons. Il rejoindra Nottingham Forest pour une seule saison en Division 1 en 91-92. L'année suivante, la Premier League est créée et il sera le premier buteur de Nottingham Forest de son histoire. 


Puis il quittera le club une semaine plus tard pour signer à Tottenham. Il passera cinq prolifiques saisons à White Hart Lane, s'acclimatant tout de suite à sa nouvelle équipe puisqu'il en deviendra le meilleur buteur dès sa première saison. Il inscrira au total 99 buts sous les couleurs londoniennes toutes compétitions confondues. Oui mais voilà, à la fin de la saison 96-97, alors âgé de déjà 31 ans, il ne compte aucun titre majeur à son actif et on se demande alors s'il arrivera jamais à en gagner un. Mais Teddy est un homme patient, tout comme il a dû attendre ses 27 ans pour fêter sa première sélection avec l'équipe nationale d'Angleterre, avec qui il participera à l'Euro 96 et aux Coupes du Monde 98 et 2002, il attendra ses 33 ans pour enfin goûter aux joies des trophées. Et en rejoignant Manchester United après la Coupe du Monde en France, cela était bien son objectif. Après une première saison moyenne, et toujours sans titre, arrivera la saison 98-99. 


Paradoxalement, cette saison de la gloire pour lui sera celle où il inscrira le moins de but dans sa carrière avec seulement 5 petits buts toutes compétitions confondues, mais parmi ceux-ci se trouve celui de la finale de la Champions League. Ajoutez à cela le titre de champion d'Angleterre et la victoire en FA Cup, et la vitrine de Teddy Sheringham se remplira enfin. Son palmarès s'agrandira de 2 nouveaux titres de champion les 2 années suivantes. Il retournera à Tottenham après ces titres où, malgré son âge, il sera un titulaire indiscutable, inscrivant 24 buts en 2 saisons. Il voyagera encore une saison à Portsmouth et 3 à West Ham United où il marquera 20 buts lors de sa première saison sous ses nouvelles couleurs en Championship, participant ainsi activement à la montée de son club. Il terminera sa carrière en 2008 à Colchester United à 42 ans. Il est le plus vieux joueur de champ à avoir participé à une rencontre de Premier League. Aujourd'hui, Teddy Sheringham s'est reconverti avec succès dans le poker, ayant notamment terminé 5ème d'un tournoi de l'European Poker Tour, un des plus prestigieux tournois de poker mondial sponsorisé par Poker Stars. Ses qualités mentales de footballeur semblent dont beaucoup lui réussir pour maîtriser toutes les différentes techniques du poker, s'étant beaucoup entraîné en ligne. Souhaitons lui la même longévité exceptionnelle dans le poker que celle qu'il a connue dans le football.

Marcel DESAILLY's brother

Seth ADONKOR was the half-brother of Marcel Desailly, who later followed him to the FC Nantes Atlantique. Adonkor established himself in Jean-Claude Suaudeau's first team in the 1982-83 season, which his club finished as French champions, nearly adding the Coupe de France to their honours list. The 1982-83 championship was to be his only major honour. By trade a strong, hard-tackling midfielder who could also play in attack, Adonkor had become a 'rock' (in Suaudeau's words) in the heart of Nantes's defence when his career was cut brutally short. Driving back from Saint Nazaire to Nantes with his teammates Jean-Michel Labejof (who died) and Sidi Kabahe (who survived, but never played again), he was the victim of a fatal car crash. Adonkor was then widely tipped to become a French international. The news of Adonkor's death was passed on to Marcel Desailly by his close friend and team-mate Didier Deschamps. Adonkor was Desailly's role model. Adonkor was an impressive centre back who was close to Marcel, when the news had broke Marcel was deeply saddened however was determined to make the rest of his career a tribute to his late half brother. Adonkor was hugely successful at FC Nantes academy and was tipped to be a regular starter in the team. However this was not to be with the events that had occurred in November 1984. Seth has always been remembered by FC Nantes fans as the one with a lot of promise but was taken too early.

La famille SACHY

La famille SACHY est vraiment une famille de footeux. Vous vous souvenez des frangins qui jouaient en première division à la fin des années 90. Il y a tout d'abord l’aîné, Nicolas gardien de but formé à Dunkerque et qu'on verra au SCO d'Angers mais aussi et surtout à Sedan. Il participera aux bonne années des sangliers en division 1. Ensuite il y a le cadet, Laurent avant-centre de son état. Laurent SACHY évoluera à Nancy et à Toulouse entre autres.
Nicolas et Laurent, deux ans d'écarts et évoluant chacun aux postes les plus opposés, gardien et avant-centre. Sûrement à force de faire des face à face étant enfant dans le jardin familial sous les yeux du papa. Le papa justement, vous le connaissez ? Lui aussi professionnel, il s'agit de Lionel Sachy formé à Amiens et qui évoluera quasiment tout au long de sa carrière en division 2. Tout d'abord Amiens, Puis à Dunkerque, ensuite à Creil (oui Creil a été en D2 au début des 70's) pour revenir boucler la boucle à Amiens. Lionel Sachy était un ailier gauche très percutant, excellent dribbleur qui aura laissé que des bons souvenirs à Amiens. Il n'existe pas de vignettes Panini de la figure paternelle, il a débuté en 1960 chez les pros et terminé en 1974, à une époque où il était difficile d'avoir des images des joueurs de Division 1 alors ceux de D2. Mais il reste les photos d'équipes et voici celle qu'il faut à tout prix avoir vu au moins une fois dans sa vie d'amateur de foot, le Amiens AC 1973-74 :
Alors elle est pas fantastique cette photo ? Allez vous vous en doutez, le papa Sachy c'est celui avec les lunettes fumées, accroupi tout à droite (remarquez pas besoin de préciser la position). J'avoue que cette photo m'intrigue drôlement. Bon je crois que les lunettes ce n'était pas une fantaisie, le père Sachy à l'air bien myope vu que c'est le seul à être tourné à l'opposé du photographe. Par contre pourquoi des lunettes fumées ? Des binoclards dans le foot il y'en a déjà eu (voir le sujet sur les Binoclards) mais c'est le premier que je vois avec des lunettes fumées.

World Cup Top 100 - N°80 : RIVELINO

Un pied gauche précis et dévastateur, des coups francs terribles : ainsi était le moustachu Rivelino, homme de base et buteur du Brésil 1974. Mais si sa présence et ses trois buts (autant que lors de sa première coupe du monde au Mexique, quatre ans plus tôt) firent illusion, donnèrent l'impression que cette Seleçao aurait les moyens de défendre sa couronne, ils ne furent pas suffisants pour la hisser à un niveau de jeu que sa trop prudente tactique ne lui permettait pas d'atteindre. Mais ses boulets de canon, notamment contre la RDA et l'Argentine sont restés imprimés dans les mémoires. Et le bonhomme, ailier gauche d'appoint dans la merveilleuse équipe championne du monde en 1970 après avoir été le héros des éliminatoires, était en pleine mue, prêt à endosser les responsabilités et capable de donner l'impulsion à un collectif. Mais l'Argentine 1978 était trop loin et, quatre ans après, le meneur de Fluminense avait déjà laissé une partie de son punch sur le chemin. Pour ceux qui n'ont pas en mémoire les buts de Rivelino, je vous ai sélectionné son coup franc face à la RDA lors du premier match du second tour de la coupe du monde 1974. On joue la 60ème minute et se sera le seul but de la rencontre, grâce à un trou de souris ! Je vous conseille de regarder attentivement le ralenti :


A première vue ça parait simple mais y'a un gros travail de synchronisation tout de même entre le tireur et le désigné volontaire du mur. Ce dernier doit être très rapide, en fait c'est de lui et de ses réflexes d'esquive que dépend la réussite du coup franc. En tout cas une technique imparable lorsqu'elle aussi si bien réalisée.
RIVELINO face à l'Italie, lors de la finale du Mundial 1970
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