Bien sur chaque mois d'avril commence par un bon gros poisson !
Et le lendemain on redevenait sérieux avec un des sujets les plus lus de l'année :
09-Ignacio PENA
FC Rouen
08-Jean PETIT
AS Monaco
07-Raymond DOMENECH
RC Strasbourg
06-Patrick REVELLI
AS Saint-Etienne
05-André GALLICE
Girondins de Bordeaux
04-Joel TANTER
RC Strasbourg
03-Jean-Pierre POSCA
FC Sochaux
02-Hassan HARMATALLAH
RC Lens
01-Guy FRAUNIE
Girondins de Bordeaux
HORS CATEGORIE
Jorge TREZEGUET
FC ROUEN
André TOTA
Girondins de Bordea
La chevauchée fantastique de Sepp MAIER
Sepp MAIER sûrement le plus grand gardien de l'histoire du football allemand. une légende au Bayern et au sein de la Nationalmanschaft. MAIER c'est 17 saisons au Bayern de Munich et 13 années comme gardien numéro 1 de la sélection de la RFA. 679 match avec le Bayern et une multitudes de titres dont 3 coupes d'Europe des clubs champions, avec l'équipe de RFA c'est 95 sélections et un tire de champion d'Europe en 1972 et un titre de champion du monde en 1974. Mais tout ça vous le savez déjà, par contre ce qu'on ignore tous c'est l'exploit qu'il réalisa en Bundesliga le 30 mars 1974 face à Duisbourg. Ce match ne fût pas un match difficile et mène 3-0 quand Sepp MAIER se la joue façon Pascal OLMETA. Le portier allemand tel un libéro sort de sa surface pour intercepter un ballon en profondeur de l'équipe adverse. Son contrôle un peu long, lé déporte le long de la ligne de touche et là se retrouve en duel face à un attaquant de Duisbourg et au lieu de dégager le ballon, le futur champion du monde tente l'impossible et déborde tel un Ibrahim BA de la grande époque le long de la ligne de touche. Personne ne l'arrête et MAIER remonte tout le terrain pour arriver à hauteur de la surface adverse, son centre n'est pas le plus beau centre du monde mais qu'importe quand dans vos rangs vous avez le Bombardier !! Gerd MULLER reprend ce centre banane qui ressemble à la trajectoire d'un canard flingué en plein vol et place une tête plongeante en rase motte qui meurt dans le petit filet du gardien de Duisbourg. Le Bayern l'emporte 4-0 et Sepp Maïer ce jour-là écrivit une nouvelle page de sa légende. Cette chevauchée fantastique la voici :
Et le lendemain on redevenait sérieux avec un des sujets les plus lus de l'année :
Les carnets secrets du Barça sur le PSG
En coupe d'Europe 1995, le Barça affronte le PSG et pendant son séjour en Île de France, l’équipe de Barcelone réside à
l’hôtel Trianon Palace de Versailles. Le 15 Mars 1995, les catalans
quittent l’hôtel et leurs chambres puisqu’ils rentrent directement en
Espagne après le match. Donc le jour du match, un nouveau client arrive
dans la chambre qui fût occupé par Johan Cruyff, cet industriel qui est
en voyage d’affaires se pose alors devant le bureau de la chambre et
s’aperçoit que la femme de ménage à oublier de jeter certains papiers.
L’homme curieux jette un œil et en passionnée de foot qu’il est,
comprend qu’il a sous les yeux toutes les notes de l’entraineur
hollandais sur son adversaire du jour le FC Barcelone. L’homme est
abonné à France Football et envoie à l’hebdomadaire les documents qui
les publient la semaine suivante. En tout cas rien ne dit que l’homme ou
le magazine n’ont pas transmis à Luis FERNANDEZ et son staff une copié
des documents avant la rencontre. En tout cas quelle imprudence de la
part de l’entraineur barcelonais de ne pas avoir emporté ses documents
ou de ne pas les avoir détruits. Ces documents est véritable trésor d’archives en voici quelques extraits et pour l'avis sur chaque joueur je vous invite à lire le sujet : Les carnets secrets du Barça sur le PSG.
Cruyff craignait les corners de Valdo à gauche avec soit un danger au
premier poteau avec Ginola mais aussi la présence au second poteau de
George WEAH, comme on le voit sur ce croquis de l’entraineur catalan
Rebelote avec ce croquis mais sur les corners de l’autre côté tirés par
Paul Le Guen. Cruyff identifie bien que le danger n°1 est RAÏ au premier
poteau :
La carrière de joueur d'Alex FERGUSON
Bon sur Old School Panini j'ai souvent parlé de Sir Alex
FERGUSON l’entraîneur mais très peu du joueur. Il commence sa carrière
comme joueur amateur du côté du Queen's Parf Football Club, petit club
de Glasgow. Il est attaquant et débute avec l'équipe première à l'âge
précoce de 16 ans. 3 ans plus tard, il n'arrive pas à s'imposer au
Queen's Park et file à St-Johnstone mais il n'est toujours pas
professionnel. Là aussi il a du mal à s'imposer et envisage une carrière
au Canada car au bout de 4 saisons il est toujours remplaçant et ne
joue quasiment jamais. Vient la fin de la saison 1963-64, Ferguson à 23
ans et il va enfin avoir sa chance, suite l'absence
d'attaquants, l’entraîneur de St-Johnstone le titularise pour un match
face aux Rangers. St-Johnstone crée la surprise en s'imposant et Alex
FERGUSON inscrit un hat-trick. L'été suivant il signe son premier
contrat professionnel avec le club de Dunfermline Athletic. Il y reste 3
saisons avec un bilan notable de 66 buts en 89 rencontres puis signe au
sein des prestigieux Glasgow Rangers qui ne l'avait pas oublié. Chez
les Rangers, Alex Ferguson prouve encore qu'il est un attaquant efficace
et inscrit en deux saisons 44 buts en 57 rencontres. Il terminera sa
carrière au plus haut niveau écossais à Falkirk.
Une honnête carrière pour cet attaquant adroit devant le but. Seulement
cela remonte à une époque très lointaine et il est difficile d'illustrer
cet article avec ces autocollants ou cartes d'une qualité digne d'Old
School Panini alors il fallait agir et voici le sticker de Sir Alex
FERGUSON en HD avec les Glasgow Rangers :
Bien sûr il n'existe pas de vignettes ou cartes de sa période amateur à
Queen's Park pourtant je vous propose un petit jeu avec une photo de
l'équipe lors de la saison 1958-59. Sauriez-vous retrouver Sir Alex ?
(réponse à la fin du sujet)
Bon c'est pas évident car il n'a que 17 ans et demi sur la photo ! Et
puis on a plus l'habitude de le voir sur un banc de touche avec la
casquette de manager. Tenez voici un petit cadeau d'Old School Panini
avec les vignettes Panini des 3 clubs qu'il a entraîné au plus haut
niveau : St-Mirren, Aberdeen et Manchester United. Pour M.U il s'agit de
sa première vignette Panini lors de l'album 1987-88
Je trouve qu'en franchissant le mur d'Hadrien il a perdu une certaine
classe le Sir Alex. Fini les costumes cintrés et la cravate et place aux
survets et aux doudounes Parka. La cravate c’était sa marque de
fabrique même quand il était joueur il la portait dès qu'il était en
dehors du terrain :
Quel dandy !! Sir Alex avait la classe et l'élégance aussi bien sur qu'en dehors des terrains à l'époque
Bon il temps de voir la réponse à la petite question de tout à l'heure.
Sir Alex sur la photo des Queen's Park FC version 1958-59 est assis tout
en bas à l'extrême droite :Quel dandy !! Sir Alex avait la classe et l'élégance aussi bien sur qu'en dehors des terrains à l'époque
L'hommage à Javier ZANETTI en vignettes Panini
Alors qu'on pensait que cette saison allait être la dernière de Javier ZANETTI, Il Capitano
vient d'annoncer qu'il rempilerait sous le maillot nerazzuri pour la
saison 2013-14. Ce sera le dernier exercice de sa carrière alors qu'il
soufflera ses 40 bougies au mois d'août prochain. Comment évoquer
l'incroyable longévité de sa carrière ? Par les chiffres ? Tout le monde
l'a fait alors ici sur Old School Panini on va faire ce qu'on sait le
mieux faire : Avec des vignettes Panini. Voici de ses débuts en 1993 au
Talleres de Cordoba à cette saison 2012-13 à l'Inter, 20 ans de sa
carrière professionnelle en Panini :
C'est incroyable tout de même comme il n'a quasiment pas changé en 20
ans ! Mais on peut aller plus loin dans l'analyse Panini de sa carrière à
l'Inter pour ce joueur qui aura connu 18 entraîneurs différents à
Milan. Tout simplement en regardant la planche Panini de l'équipe de
l'Inter lors de son arrivée dans le Calcio en 1995-96. Vous allez voir
il y a des joueurs qui ont raccroché il y a bien des années...
L'histoire en Panini de Thiago SILVA et ALEX
Thiago SILVA et ALEX c'est aujourd'hui la charnière centrale titulaire
du Paris Saint Germain mais il faut savoir que les deux hommes se
connaissent depuis l'enfance et que c'est tout sauf un hasard si
aujourd'hui il se retrouve coéquipiers. En effet Thiago SILVA est un
miraculé du foot et il le sait son salut pour beaucoup tient au soutien
infaillible depuis des années de son meilleur ami ALEX. Si Thiago Silva
est considéré aujourd'hui comme l'un des meilleurs défenseurs au monde,
voire le meilleur, le Brésilien n'a pas toujours eu une vie dorée. "Je
n'ai pas eu que des moments faciles dans ma vie. Il y a eu des épreuves
à surmonter. Aujourd'hui je peux vous le dire en face, je suis un
survivant." Alex, le meilleur ami de Thiago Silva depuis leur
enfance raconte comment le Brésilien a goûté aux joies du cuir pour la
première fois : "A Santa Cruz, près de Rio de Janeiro, il a passé
toute son enfance. Il était là-haut, il jouait au cerf-volant, c'est là
que je l'ai connu. On l'appelait, 'Viens Thiago on va jouer au foot sur
le terrain entre les deux rues', et il descendait rapidos."
Pourtant, le joueur du PSG a mis un certain temps avant de rejoindre ses
copains sur le terrain vague. Trop timide, il n'osait pas y aller : "Je
passais beaucoup de temps sur la terrasse, je voyais les gens jouer au
foot, mais je n'avais pas vraiment le courage d'y aller, j'étais trop
timide, jusqu'au jour où j'ai eu un déclic, l'envie de les rejoindre.
Les gamins m'ont appelé, et là je n'avais plus le choix, je devais y
aller, et j'ai commencé à jouer." Un courage qui apportera les résultats que l'on connaît tous aujourd'hui.
Mais à l'époque, Thiago SILVA grandit dans un quartier difficile
en proie à la pauvreté et donc à la délinquance, ainsi lui même avoue
qu'il aurait même pu mal tourner : "Je dois beaucoup à ce quartier
car j'y ai appris énormément là-bas. J'ai vu beaucoup de belles choses
mais aussi des choses négatives. C'est vrai, j'aurais pu prendre le
mauvais chemin, faire des mauvais choix et mettre en péril mon avenir."
Mais heureusement il y a le football et sa seconde famille, celle
d'Alex, d’ailleurs Thiago SILVA considère la mère d'Alex comme sa
seconde mère.Chez ALEX, Thiago ne connaîtra jamais la faim, d'ailleurs
la maman d'Alex, cuisinière de son état, a donné son nom à une recette à
l'époque. Le gâteau Thiago SILVA et pourquoi ? Parce que lorsque le
jeune Thiago débarquait chez les Alex il le mangeait en entier
le gâteau ! Une anecdote qui donnera de l'eau au moulin de Joey Barton.
Mais l'amitié entre les deux hommes va plus loin que le goûter partagé
après un match de football de rue. Alors que Thiago SILVA a fait des
débuts remarqués en première division brésilienne, il file en Europe
chez le FC Porto tout juste sacré champion d'Europe et là c'est le début
des ennuis, des ennuis graves. En effet quand Thiago SILVA regarde dans
le rétroviseur, c'est non sans peine qu'il évoque son passé : "Aujourd'hui
je suis un joueur reconnu du PSG, parfois adulé, mais quand je regarde
en arrière je vois tout ce que j'ai dû accomplir pour en arriver là, et
croyez-moi rien n'a été facile." Car en effet, si le joueur a
réussi à vaincre ses problèmes financiers et mettre à l'abri sa famille,
il allait faire face à un adversaire beaucoup plus redoutable, qu'il
n'avait encore jamais affronté, la mort. Transféré à Porto en 2004,
malade, il rejoint Moscou un an après. Voyant sa santé se dégrader, il
passe plusieurs tests. Là, le verdict tombe comme un couperet : le
joueur est atteint de la tuberculose, maladie complètement incompatible
avec le football, qui cause des problèmes respiratoires. "J'aurais
pu y laisser la vie, si la maladie avait été découverte quelques
semaines plus tard. Quand le médecin m'a montré la radiographie de mes
poumons, j'étais désespéré, j'ai tellement pleuré.", a expliqué le Brésilien.
Mais pour combattre cette maladie, il a pu, comme toujours, compter sur
le soutien de son meilleur ami. Alex raconte, les larmes aux yeux,
devant les caméras de Téléfoot : "Quand j'ai appris la nouvelle,
c'était difficile d'y croire. Je devais aller là-bas, je devais voir mon
ami. Je n'avais jamais quitté le Brésil mais je ne regrette pas. Si je
devais le refaire, je le referai à nouveau. On a vécu ici un des moments
les plus tristes." Au bout de quatre mois, Thiago vainc la
maladie. De nouveau sur pieds, rien ne lui promettait de retrouver le
football. Dans l'espoir de retrouver les pelouses, Thiago SILVA retourne
dans son pays natal, et plus précisément à Fluminense. "Après ma
maladie, Fluminense s'est comporté avec moi comme un amour, je
supportais déjà ce club, et tout de suite après la tuberculose ça a été
pour moi un grand amour, l'équipe m'a ouvert ses portes pour un retour
dans le foot. Je suis ému à chaque fois que je parle de Fluminense,
parce que, si j'avais été ailleurs, je ne serai probablement pas
aujourd'hui l'un des meilleurs défenseurs du monde." C'est ainsi que Thiago Silva lance véritablement sa carrière. Il enchaîne les matches, et devient "O mostro".
Ensuite, il connaît la véritable consécration, avec un transfert à
Milan, puis au PSG. Et donc voici les deux vignettes Panini
des meilleurs amis du monde lors de leurs débuts en première division
brésilienne, avec la Juventude pour SILVA et le prestigieux club de
Santos pour ALEX :
Zlatan IBRAHIMOVIC's first sticker in HD
Ibrahimović signed his first contract
with Malmö FF in 1996, and moved up to the senior side for the 1999
season of Allsvenskan, Sweden's top-flight league. That season, Malmö FF
finished 13th in the league and were relegated to the second division,
but returned to the top flight the next season. Arsène Wenger unsuccessfully tried to persuade Ibrahimović to join Arsenal,
while Leo Beenhakker also expressed interest in the player after
watching him in a training match against Norwegian side Moss FK. On 22
March 2001, a deal between Ajax and Malmö regarding Ibrahimović's
transfer to Amsterdam was announced, and in July, Ibrahimović officially
joined Ajax for 80 million Swedish kronor (10 millions of €).
Zlatan Ibrahimović signe son premier contrat professionnel avec Malmö
FF en 1996, et fait ses grands débuts en équipe senior lors de la
saison 1999-2000 d'Allsvenskan (première division suédoise). Cette
saison,-là, son club finit 13e du championnat et est relégué en D2/ Le
club fait l'ascenseur, puisqu'il remonte en D1 la saison suivante. En 2001, il est remarqué par le coach d'Arsenal, Arsène Wenger, qui tente sans grand succès de l'attirer dans ses filets,
tandis que Leo Beenhakker exprime publiquement son intérêt pour le
joueur après l'avoir vu à l’œuvre lors d'un match contre la formation
norvégienne du Moss FK. Finalement, le 22 mars 2001, les Néerlandais de
l'Ajax Amsterdam trouvent un accord avec le club suédois pour le faire
venir contre la somme de 80 millions de couronnes (environ 10 millions
d'€).
Depuis la Suède au début de ce siècle jusqu'à cette année à Paris, on
peut voir qu'il n'y a que sa coupe de cheveux qui a changée :
Les diaspora du Calcio lors de la saison 1990-91
Pendant toute la décennie des années 80, les plus grands clubs italiens
ont milité pour avoir trois étrangers au sein de leur effectif. Et au
début des années 90 quand ce fût le cas, chacun des grands clubs de la
Péninsule, optait pour une stratégie de recrutement très ciblée. Le
Milan AC, champion 1988, était à la sauce hollandaise, le voisin de
l'Inter, Champion 1989, optait pour une formation à l'accent germanique
tandis que le Napoli, champion 1990, était à la mode sud-américaine.
Mais bon en 1990-91 aucune de ces trois équipes ne sera championne, le
scudetto sera pour la Sampdoria de Gênes emmené par le duo Gianluca
VIALLI et Roberto MANCINI.
Les ratés Panini : Jimmy ADJOVI-BOCO
Vous vous souvenez tous de Jimmy ADJOVI-BOCO ? Nul besoin de présenter
ce défenseur qui a évolué au plus haut niveau pendant 6 saisons au RC
Lens de 1991 à 1997. Jimmy ADJOVI-BOCO symbolise la montée en puissance
du club Artois dans les années 90 jusqu'au sacre ultime de 1998. Avec
les Eric SIKORA, Jean-Guy WALLEME, Hervé ARSENE, Pierre LAIGLE,
Christophe DELMOTTE, l'australien Robbie SLATER mais aussi DEHU,
MEYRIEU, Roger BOLI, WARMUZ, DEBEVE ou Tony VAIRELLES, c'est toute une
génération qui a fait le bonheur de Felix Bollaert et au milieu de cette
bande sang et or, un rasta reconnaissable tout de suite sur le terrain :
Jimmy ADJOVI-BOCO. J'adore cette anecdote pour ses débuts en division
1, lui qui a répété ses gammes en seconde division, à Tours notamment.
Première journée de championnat lors de l'exercice 1991-92, ADJOVI-BOCO,
nouvelle recrue en provenance de Tours est titulaire d'entrée pour
la réception du FC Metz à Bollaert. Alors est-ce le trac ou l'envie de
bien faire mais Jimmy ne reste que 16 minutes sur la pelouse !! Le temps
de prendre son premier carton rouge en première division. Je pense
qu'il s'agit là d'un record de carrière !! Bon la suite sera beaucoup
plus raisonnable car en 195 matchs de division 1, il ne prendra qu'un
autre carton rouge. Heureusement car si il avait suivi son rythme il
aurait explosé les stats des Cyrils (Jeunchamp et Rool) réunis. Mais
aujourd'hui sur OSP on ne va pas évoquer sa carrière mais un raté Panini
énorme, peut-être le plus gros que j'ai vu depuis que je fais cette
rubrique. (Voir ici tous les Ratés Panini
retranscris par OSP). Donc Jimmy ADJOVI-BOCO quitte le RC Lens en 1997
et file en Ecosse jouer aux Hibernian, le club d’Édimbourg. Et là dans
l'album Panini écossais de 1998, notre Jimmy devient : Óli
Gottskálksson. Comment ça vous me croyez pas ?? Et bien regardez :
Alors OK je veux bien que Jimmy ADJOVI-BOCO n'était pas forcément le
joueur le plus connu du championnat de France quand il a franchit le mur
d'Hadrien mais messieurs les éditeurs Panini installés en Ecosse, il
faut y aller mollo sur le single malt car vous trouvez que Jimmy a une
tête à s'appeler Óli Gottskálksson ?
Bon l'explication est toute simple, les mecs qui ont fait l'album 98
comme je le disais ont trop forcé sur le scotch à la pause déjeuner et
en revenant au taf ils ont tout simplement inversé Jimmy avec le gardien
de l'équipe, l'islandais Ólafur Gottskálksson :
Si ça se trouve en Islande y'a un blog de foot appelé Øld Schøøl Panini
qui s'insurge sur le fait que leur gardien national, Gottskálksson soit
confondu avec un certain Jimmy Boco ! Ah les ravages de l'alcool au
travail. En tout cas un grand merci à Cedric, fidèle supporter des sang
et or, d'avoir trouvé ce loupé. Et tu as vu Cédric je n'ai pas dit un
mot sur le fait qu'en 195 matchs de division 1, Jimmy ADJOVI-BOCO n'a
pas marqué le moindre but en première division. Même pas pour son
dernier match avec les sang et or, lors de la dernière journée de la
saison 1996-97 quand le RC Lens recevait Caen et que le Racing a obtenu
un péno. Tout l'équipe se tourna vers Jimmy pour qu'il le tire et il le
tira mais l'histoire voulu qu'il ne marque jamais ce but....Entre son
premier match et son dernier match en division 1, il n'aura pas eu
vraiment de réussite le malheureux Jimmy.
Le Top Ten des Trifons made in France 1978
Si en général dans cette catégorie, "Dans la série il n'y a pas que Trifon",
la part belle est réservée aux allemands et hollandais des années 70,
pour une fois je vais démontrer que la France aussi a connu sa vague de
joueurs rugueux aux looks patibulaires durant cette même période. Voici
une petite compil de mes 10 tronches préférées dans cet album :
10-Patrick JESKOWIAK
Valenciennes
09-Ignacio PENA
FC Rouen
08-Jean PETIT
AS Monaco
07-Raymond DOMENECH
RC Strasbourg
06-Patrick REVELLI
AS Saint-Etienne
05-André GALLICE
Girondins de Bordeaux
04-Joel TANTER
RC Strasbourg
03-Jean-Pierre POSCA
FC Sochaux
02-Hassan HARMATALLAH
RC Lens
01-Guy FRAUNIE
Girondins de Bordeaux
Dans cet album il y a deux vignettes que je voulais partager avec vous
même si vous les avez déjà vu sur Old School Panini. Le père de David
TREZEGUET et le père de Matthieu TOTA alias M POKORA :
Jorge TREZEGUET
FC ROUEN
André TOTA
Girondins de Bordea
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire