Les entraineurs de ligue 1 - Chapitre 1

Les entraineurs de Ligue 1 - Chapitre 1

Roland COURBIS

Formé à l'Olympique de Marseille. Limité techniquement mais assez dur sur l’homme il joue quelques matchs lors de la saison du doublé. Mais lors de l’été 1972, il est échangé avec quatre autres joueurs contre Marius Trésor, qui évolue à l’AC Ajaccio.
En Corse, Rolland trouve une certaine qualité de vie ainsi que du temps de jeu. Sa mentalité colle bien à l’équipe et à la culture corse.L’équipe termine lanterne rouge et Rolland doit quitter le club.
 
Il part alors en Grèce, à l’Olympiakos. À l'époque seuls les joueurs grecs peuvent jouer en Grèce. Il s'invente donc un arrière grand-père grec.

Il effectue une suele saison en Grèce puis retour au pays, à Sochaux où il s'impose avant de partir à l'AS MONACO où il remportera 2 titres de champion de France et une coupe de France
 
A l'époque seul son nez était gros ... Aujourd'hui c'est l'inverse ...
 
 
Daniel LECLERQ
"Le druide"
 
 Après une carrière de joueur déroulée pour l'essentiel à Lens, Leclercq se retrouva à la fin des années 80 à tirer des demis dans son bar le Score - encore que tout le monde disait «chez Deroder», du nom de l'ancien proprio - en face du stade Nungesser, à Valenciennes. Aussi brillant que fut le (pied gauche du) footballeur, le mythe Leclercq partit un peu de là. Il sut l'entretenir : repêché par les cheveux par Martel en 1992 et intégré comme entraîneur du centre de formation puis de la nationale 2. Il est devenu l'adjoint de Roger Lemerre à la fin de la saison 1996/97 pour sauver le club de la descente en D2. Il l'a remplacé à la tête de l'équipe première en juin 1997 et, dès sa première saison, apporte le premier titre de Champion de France (et premier titre tout court...) au Racing Club de Lens.

Il a, quand l'équipe première lui fut confiée en 1997, sanctionné d'amendes carabinés les joueurs qui avaient le malheur de ne pas saluer l'employé chargé de leur ouvrir le parking.
 
 
 
 
Guy LACOMBE
 
Educateur au centre de formation de l’AS Cannes au début des années 90 puis entraîneur au sein de l’élite française depuis , Guy Lacombe, 54 ans, a auparavant vécu une riche carrière de footballeur professionnel. D’Albi à Cannes, en passant par Nantes, Lens, Tours, Toulouse, Rennes et Lille, il s’est forgé une solide réputation au poste de milieu de terrain offensif droit. Qualité technique, pouvoir de perforation et combativité, des valeurs qui ont permis de disputer un total de 354 matches de première division et d'y inscrire 45 buts.


 
Champion de France avec les Canaris en 1977, il a atteint sous le maillot Bleu un sommet sportif au soir du 11 août 1984 à Pasadena (Etats-Unis, Californie), dans un Rose Bowl rempli par près de 101 000 spectateurs ! A l’issue d’une victoire sur le Brésil de Dunga en finale des JO d’été de Los Angeles (2-0), l’équipe de France Olympique, alors coachée par Henri Michel, remporte la médaille d’Or. « Gagner le titre olympique avec cette bande de copains, c’est vraiment le souvenir de ma vie », confie Guy Lacombe. Acteur majeur de l’aventure américaine en compagnie des Ayache, Jeannol, Lemoult, Bijotat, Xuereb ou Brisson, le coach monégasque, qui portait durant cet été magique le numéro 9, a notamment marqué un but décisif durant les prolongations de la demi-finale face à la Yougoslavie (4-2 ap).
 
 
José ANIGO
 
Ce défenseur latéral est un ancien « Minot » de l'OM. Il participa au poste de défenseur à la remontée du club en première division lors de la saison 1984-1985.
En janvier 2004, Alain Perrin est remercié suite à une série de défaites lors de rencontres importantes au Vélodrome et un classement décevant. C'est l'occasion pour José Anigo de prendre en main l'équipe première.

Sous son commandement l'équipe atteint la finale de la Coupe UEFA, suite à ces bonnes performances en Coupe d'Europe, José Anigo est reconduit par Christophe Bouchet pour la saison 2004/2005. Cependant suite au départ de Didier Drogba et aux performances décevantes des recrues, l'OM entre dans une nouvelle crise. José Anigo démissionna en novembre 2004 suite à deux défaites consécutives face au Paris Saint-Germain.
 
 
Claude PUEL
 
À 15 ans (1977), il entre au centre de formation de Monaco, puis joue son premier match pro deux ans plus tard. Il jouera au total 601 matchs officiels, dont 488 de championnat avec Monaco de 1979 à 1996. Il sera un élément incontournable de l'ASM où il passera toute sa carrière. Claude Puel jouait au poste de milieu récupérateur. Il remportera deux championnats et deux Coupes de France avec le club du Rocher.
 
Capitaine de l'AS MONACO, il avait fiat cette déclaration en 1994 :

" le foot, c'est d'abord l'agressivité. C'est à partir de là que tu deviens conquérant .... "
 
On comprend mieux alors son choix de donner le brassard au policier Cris

6 commentaires:

  1. Puel s'il a donné le brassard à Cris, c'est suite à une "Sortie de Route" de Captain Govou, à titre de sanction. Nuance

    RépondreSupprimer
  2. Je pense que Puel retrouve plus ces valeurs dans l'attitude de Cris et que la sortie e route était un prétexte pour enlever le brassard à Sydney !

    RépondreSupprimer
  3. Ha le costaud j'espere vraiment qu'il va partir lui !!!!!
    c'est bizarre mais j'ai jamis vu quelq'un de ton blog sur un terrain de foot =D

    RépondreSupprimer
  4. En même temps, il aurait pas été crédible dire que le foot c'est caresser le ballon.. la seule qu'il caressait sur un terrain c'était des malléoles externes

    RépondreSupprimer
  5. Oui je suis d'accord, au milieu avec son pote Marcel Dib ils formait une doublette redoutable pour les protèges tibias

    RépondreSupprimer

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...